L'obligation vaccinale maquillée du gouvernement n'est pas seulement un problème au regard de nos libertés fondamentales. Elle vise à opérer un transfert immunitaire, des personnes et du collectif, vers des intérêts privés. Probablement de surcroit, contre nos intérêts. (1)
Cette stratégie vise à atteindre une forme d'immunité collective à l'aide de traitements géniques à usages vaccinaux, commercialisés dans des conditions opaques par des transnationales, qui se sont déchargés des frais inhérents aux risques d'effets secondaires sur les Etats.
Si l'on suit les arguments du gouvernement et pour faire simple, cette immunité collective serait ainsi atteinte artificiellement, grâce à des traitements qui éviteraient (c'est l'idée), d'atteindre une immunisation collective sans les morts (ou du moins avec moins de morts).
Un traitement de conception récente, en phase d'évaluation, sensé se substituer à l'immunité naturelle acquise, sur un virus sensiblement mutagène et dont le taux de létalité réel (IFR) se situe autour de 0,5% (de 0,001% chez les moins de 20 ans à 8,3% chez les 80 ans et plus).
En clair, une privatisation perpétuelle de l'immunité collective par des transnationales qui détiendront les moyens de fournir des doses (Le Canada vient d'en commander pour ces 5 prochaines années) pour maintenir la population "immunisée" face à de nouveaux variants.
Le tout vaccinal interfère de fait avec le processus d'immunisation naturelle. Des scientifiques sérieux craignent que les V-ARNm fragilisent la population vaccinée en lui faisant acquérir une immunité artificielle et déficiente les contraignant à des rappels perpétuels.
D'autres alertent sur les effets des pressions sélectives exercées par la vaccination de masse sur un virus si mutagène et craignent une sélection de variants face auxquels les vaccinés seront fragilisés.
Pour ne pas parler (of course) des effets secondaires lourds déjà constatés, certainement sous-évalués par le dispositif de pharmacovigilance et des effets secondaires à venir ...
La privatisation de l'immunité des personnes et de la collectivité au profit de transnationales peu scrupuleuses dans le passé, par un gouvernement en conflit d'intérêt et qui s'entête dans une stratégie autoritaire, est inacceptable. Nous ne sommes pas du bétail !
PS. J'ai tenté de formuler mon point de vue pour que des personnes qui ne croient pas à la malfaisante du pouvoir actuel, puissent y penser. Evidemment, je crains que ce soit bien pire que cela .
Pour que ce soit bien clair. Comme ancien pompier militaire et parce que j’ai souvent voyagé en zone endémique, j’ai été vacciné à maintes reprises dans le passé. Je n’ai donc évidemment aucune opposition de principe à la vaccination.
Je suis opposé à la vaccination obligatoire pour plusieurs raisons 1- j’ai déjà eu le #COVID19 à deux reprise (symptomatologie atténuée), et suis de ce fait immunisé. Je n’ai donc aucune envie de me faire administrer un produit reposant sur une techno ARNm en phase d’évaluation.
2- les laboratoires producteurs de ces technos ont été condamnés à de nombreuses reprises et se sont déchargés de toutes responsabilités sur les États pour ces produits. 3- Nous ne disposons d’aucune garantie d’innocuité de ces produits (voir C.Vélot) à long terme en particulier.
Après vérification, le variant delta semble bien beaucoup moins dangereux que les précédents. Sa viralité supérieure va donc assurer sa circulation et il va donc immuniser la population à moindre frais. Cela explique en grande partie la politique de Johnson d’ailleurs.
Les questions restantes : 1- l’immunisation partielle et de courte durée procurée par la vaccination va t-elle interférer avec l’immunisation naturelle ? 2- le taux d’hospitalisation va t-il être significativement augmenté par la circulation rapide de ce variant ?
3- Comment l’Etat va t-il réussir à mettre cette probable sortie de crise sur le compte de la politique de vaccination ? Donc sauf interférences majeures dues aux vaccins, ce variant aux effets atténués signe le probable début de la fin de la grande crise du COVID.
Les infrastructures conçues par l'homme reposant sur un contrôle centralisé ou hiérarchique sont fragiles. En revanche, la plupart des systèmes biologiques complexes utilisent un contrôle distribué et peuvent être plus robustes aux perturbations.
Leur capacité à s'adapter rapidement aux conditions environnementales dynamiques, fournit une résilience face aux perturbation produite lorsque les entrées sensorielles individuelles sont filtrées par le biais d'interactions locales, produisant une réponse adaptative collective.
L'étude évoquée ici démontre que les propriétés au niveau du groupe homogène peuvent être modifiées par la détection et la correction d'erreurs individuelles. Le mécanisme est simple et les fourmis n'ont besoin que d'informations sur leur état individuel.
Synthèse : Un virus dont on suspecte qu’il soit le résultat d’une intervention humaine (CNRS) nous oblige à nous injecter des vaccins à risques (C. Vélot évoque: recombinaison virale, insertion et immunotoxicité) et à nous tracer en limitant nos déplacements. #PasseportVaccinal
. @Francois_Ruffin sous la pression dialectique du discours paranoïaque racialiste de @Youbrak, enroulé dans un discours de lutte de classe sous faux drapeau. Rien sur le soutien massif des transnationales à cette disruption pour tuer le mouvement social.
Ruffin en synthèse : Je me soucie de vous mais le racialisme victimaire n'est pas un levier pour rassembler et peser. Brakni en synthèse : le racisme est le coeur du système car les non-européens sont la classe révolutionnaire.
La réalité : l'oligarchie libérale veut placer à la tête de la contestation sociale dans le monde occidental, une minorité racialiste que la majorité n’acceptera jamais de suivre et la réduire ainsi à l'impuissance.