Mais au-delà de l’anecdote, il faut comprendre que l’Italie, qui est très importatrices de matières 1ères agricoles car très déficitaire, veut reprendre la main et, petit à petit, remets en place des productions en filière tracée
Le but est de réussir à produire au moins le « haut-de-gamme » que ce soit en farine, ou ici, avec des noisettes. @Barilla fait la même chose avec le blé tendre pour ses biscuits.
Car la particularité de l’Italie est d’avoir des marques agroalimentaire très fortes mais peu de matières premières disponibles
Le retour de ses productions sur place amènera donc beaucoup d’externalités positives, mais également négatives, comme toute activité.
• • •
Missing some Tweet in this thread? You can try to
force a refresh
Il faudrait selon eux des « communautés autonomes », et il surtout « s’extraire du capitalisme ». Ca peut marcher à la marge : chacun est libre de vivre en totale autonomie sur sa ferme.
Les exemples cités ici sont soit des #ZAD comme a #NDDL, soit des jardins partagés : un des points communs est donc de n’avoir jamais acheté ou loué les terres en question, mais les avoir soit occupés par la force, soit en avoir obtenu la jouissance par une administration.
Le prix des céréales dans le monde remonte, c’est vrai.
Mauvaise récolte et en Amérique du Nord, moins bon que prévu en Russie, qualité très dégradée en France, etc.
En face de cela il y a toujours autant de besoin à couvrir, voir même de plus en plus au fur et à mesure de l’augmentation de la population mondiale et de son niveau de vie.