Vous les avez déjà vus ces petits camions ?
Ils pullulent sur les routes .
Et ils ont quelques particularités ⬇️⬇️
Ils pèsent tous moins de 3,5 tonnes, une fois chargés : n’importe qui avec un permis B classique peut les conduire
Ce qui veut dire que si le cœur vous en dit , vous pouvez, vous, moi, traverser toute l’Europe avec, sans aucun contrôle particulier
Et c’est exactement ce qu’ils font!!!
Souvent immatriculés en Europe de l’Est, les chauffeurs se relaient au volant, et contrairement à un camion classique …
Ils n’ont aucune obligation de faire ses pauses, de s’arrêter
Ils peuvent rouler des heures et des heures d’affilée, jusqu’à tomber de fatigue .
Ils ne s’arrêtent que pour décharger, recharger, et dormir le soir.
Un semi remorque classique enregistre son temps de route, ses temps de pause, et peut se faire contrôler à tout moment.
Ici, on ne peut contrôler que le permis de conduire , et le poids chargé .
On a donc sur nos routes une concurrence déloyale puisque pas soumis aux mêmes règles que les transporteurs classiques, en terme de temps de conduite, mais aussi de vitesse !
On a aussi des dangers roulants puisque rien ne les oblige à s’arrêter . Il arrive souvent qu’ils soient en surcharge, ou qu’ils fassent du cabotage :
Des transports Franco-Français, qui sont très encadrés pour les transporteurs étrangers
Humainement, c’est de l’esclavage, ils dorment dans les camions et partent plusieurs semaines de suite .
Il faudrait selon eux des « communautés autonomes », et il surtout « s’extraire du capitalisme ». Ca peut marcher à la marge : chacun est libre de vivre en totale autonomie sur sa ferme.
Les exemples cités ici sont soit des #ZAD comme a #NDDL, soit des jardins partagés : un des points communs est donc de n’avoir jamais acheté ou loué les terres en question, mais les avoir soit occupés par la force, soit en avoir obtenu la jouissance par une administration.
Mais au-delà de l’anecdote, il faut comprendre que l’Italie, qui est très importatrices de matières 1ères agricoles car très déficitaire, veut reprendre la main et, petit à petit, remets en place des productions en filière tracée
Le but est de réussir à produire au moins le « haut-de-gamme » que ce soit en farine, ou ici, avec des noisettes. @Barilla fait la même chose avec le blé tendre pour ses biscuits.
Le prix des céréales dans le monde remonte, c’est vrai.
Mauvaise récolte et en Amérique du Nord, moins bon que prévu en Russie, qualité très dégradée en France, etc.
En face de cela il y a toujours autant de besoin à couvrir, voir même de plus en plus au fur et à mesure de l’augmentation de la population mondiale et de son niveau de vie.