1/n On peut penser qu'au fur et à mesure que les cas d'Omicron, augmentent au Danemark, les tendances se précisent.
2/n Le 9 décembre on avait, sur un total de 785 cas d'Omicron 76,31% de double vaccinés , 7,13% avec 3 doses et 14,14% de non vaccinés.
3/n Aujourd'hui, 14/12 on a 4251 cas 79% de double vaccinés, 9% de vaccinés 3 doses et 9% de non vaccinés. Il semble que la vaccination ne protège pas du tout contre les infections car il y a plus de vaccinés parmi les cas Covid que dans la pop générale.
4/4 D'autre part, parmi les 29 cas hospitalisés depuis le 22 novembre, 12 étaient encore hospitalisés et moins de 5, sans autre précision, en soins intensifs.
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1/n Je trouve que la liste des faits qu'il faut accepter d'ignorer, sur lesquels il faudrait fermer les yeux, pour admettre que la vaccination itérative de l'ensemble de la population est justifiée s'allonge sans cesse.
2/n 1- Il faut oublier qu'on n'a jamais vu de durée de protection contre l'infection aussi courte pour un vaccin, 2-il faut ignorer que l'immunité naturelle protège à la fois très efficacement et durablement comparativement au vaccin et que les personnes déjà infectées>
3/n >tirent très majoritairement des bénéfices nuls ou très marginaux d'une vaccination 3- il faut oublier que même avec le variant delta les différences de risque lors de la primo-infection sont abyssales entre différents groupes d'âge et gps à risque.
1/n Les données et l'évolution de la situation nous dépeignent un tableau de plus en plus cohérent en faveur d'une virulence et d'une dangerosité en termes de santé publique très atténuée pour #Omicron.
2/n Je commence par la fin en disant que Omicron a un cycle de transmission bien plus court que delta. La durée d'incubation et la durée des symptômes sont divisées par plus de deux, mais également la durée des séjours hospitaliers>
3/n >passée de plus de 8 jours à 2,3 jours en Afrique du Sud. Ce qui caractérise aussi Omicron c'est que l'écart avec Delta est de plus en plus prononcé quand on va vers les formes les plus sévères.
1/n Mon sentiment et c'est plus qu'un sentiment c'est que cette crise a paradoxaleme,t accéléré la désinhibition vis à vis du risque technologique alors que c'est, encore une fois, très probablement, une désinhibition vis à vis de ce risque qui en est la cause .
2/n Le fearmongering (générer de la peur pour vendre) a été un outil marketing utilisé très largement par les laboratoires pharmaceutiques ces dernières décennies et la panique mondiale générée par le Covid a été une version magnifiée.
3/n On est resté dans un court-termisme constant et l'horizon a toujours été celui prôné par les tenants du Zérocovid, d'autant que les gouvernements n'ont jamais jugé bon de préciser à quel niveau de risque cela n'était pas acceptable de maintenir l'état d'urgence>
1/n Il va tout de même devenir difficile de nous expliquer que si les cas sévères sont rares en Afrique du Sud et que si la sévérité des cas hospitaliers est moindre ce serait parce que la population est vaccinée.
2/n Car justement, en Afrique du Sud , la population est peu vaccinée. Et en partie par un vaccin proche du vaccin AZ qui ne semble pas très efficace contre les formes symptomatiques dues au variant Omicron en première approche.
3/n Il vaut mieux alors se tourner vers d'autres explications: 1-le virus a n'aurait infecté que des personnes jeunes> on peut comparer à la période du pic delta début juillet pour le taux de positivité.
1/La situation tend à s'éclaircir pour le variant #Omicron , qui pourrait finalement s'avérer moins virulent que le virus de la grippe. Quelques éléments pour comprendre.
2/n La différence essentielle entre le SARSCoV2 d'une part et le MERS et le SARS d'autre part, est que ces derniers ne peuvent infecter le naso-pharynx et n'infectent que les poumons, >
3/n > ce qui les rend à la fois moins transmissibles, mais rend les infections plus sévères lorsque l'on est infecté.