J'ai rarement réagi sur la crise sanitaire avant cette phrase de #Castex.
Une phrase de trop. Une manipulation.
Une lâcheté politique, ou comment pointer du doigt des boucs émissaires pour masquer l'échec de la politique sanitaire du gouvernement. 1/4
Je ne suis pas contre le vaccin, mais je suis contre le mensonge et la manipulation dans le but de justifier la vaccination de masse, de soumettre la totalité des Français au diktat du vaccin en pointant sur nos tempes l'arme du chantage à l'exclusion sociale.
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Le gouvernement et les organismes de santé auraient dû informer les citoyens des bénéfices et des risques de la vaccination en toute transparence.
Puis laisser les gens décider en libre conscience de se vacciner ou pas après avoir estimer le rapport bénéfice/risque.
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Je crois que le libre arbitre est la raison d'être de l'homme. Nulle contrainte en matière de santé. Un homme est présumé sain jusqu'à preuve du contraire.
Faire de l'homme sain un danger potentiel est une position qui finira par créer une société du soupçon permanent.
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Deux tweets extraordinaires d'un économiste de plateau tv.
Les deux tweets ont 7 ans d'intervalle.
Ce sont les mêmes qui ont détruit l'hôpital public et qui demandent aujourd'hui aux jeunes d'être "altruistes".
On se dit la vérité maintenant ? @nbouzou
Alors que les néolibéraux nous font des leçon de morale après avoir détruit l'hôpital public, d'autres n'ont pas attendu la crise sanitaire pour se soucier du bien commun.
Maintenant il suffit de prendre le cas d'un État ou d'une multinationale qui s'endettent en émettant des titres de dettes (des bouts de papier plus sophistiqués).
La banque commerciale ou un agent privé prêtent 100€ à l'État ou à la multinationale…
$1000 milliards !
Sur la dernière année seulement, il y a eu plus d'argent investi sur les fonds en actions que sur les 19 dernières années (source Goldman Sachs).
C'est peut-être cynique de l'écrire, mais les ultra-riches n'ont sûrement pas envie que la "crise #covid" s'arrête !
Financièrement, la "crise #covid" provoque d'un côté l'inflation des actifs (obligations, actions, immobilier, cryptos, art...) qui enrichit encore plus les riches, et de l'autre provoque l'inflation des prix à la consommation qui appauvrit les pauvres et les classes moyennes !
Toutes ces inégalités se creusent à cause des politiques monétaires des banques centrales qui abusent de la monnaie créée numériquement pour la déverser sur les marchés financiers. De la monnaie qui est d'intérêt public mais qui profite au final aux ultra-riches ! @Lagarde#BCE
Lors d'une réunion du comité des finances au parlement canadien qui doit discuter de nouvelles dépenses de $7 milliards, un député pose une question simple : "d'où vient l'argent ?"
Les députés présents et le ministre des finances avouent ne pas savoir répondre à cette question !
Le député pose cette question car il sait que cet argent est payé in fine par les citoyens :
- par le jeune de 30 ans qui vit dans le sous-sol de ses parents car il est victime de l'inflation des prix des logements qui l'a éloigné du marché immobilier
Mais aussi :
- par la mère isolée qui n'arrive plus à nourrir ses enfants convenablement à cause de la hausse des prix des produits alimentaires
- par les personnes les plus âgées aussi, qui voient leur épargne s'évaporer à cause de l'inflation
« L’#inflation est un masque: elle donne l’illusion de l’aisance, elle gomme les erreurs, elle n’enrichit que les spéculateurs, elle est prime à l’insouciance, potion à court terme et poison à long terme, victoire de la cigale sur la fourmi »
J-Y Naudet, 2010
La création monétaire par la dette avec intérêts est une morsure faite à la société. Une morsure indolore au départ, mais qui injecte dans l'économie une sorte de lents poisons qui se propagent : spéculation, inégalités de richesse, instauration de la ploutocratie, inflation...
Parmi ces lents poisons, il y a donc l'inflation. Sûrement le phénomène le moins compris par les citoyens et même par certains économistes.