1/n N Berrod fait une analyse intéressante mais incomplète. On constate que tous les indicateurs sont à la baisse depuis plus d'une semaine, comme le montre le dernier bulletin épidémio SPF, mais aussi, pour tous les âges, ce q n'était pas les cas auparavant. 
https://twitter.com/nicolasberrod/status/1492548448087941124
2/n Comme en UK précédemment, la part des personnes hospitalisées "avec" Covid et non "pour" Covid augmente
https://mobile.twitter.com/nicolasberrod/status/1492548453532151818
3/n 92% des personnes décédées ont plus de 65 ans et la surmortalité notée jusqu'à fin décembre était portée par les 65-84 ans. Notons que lors de la très forte augmentation d'incidence d'Omicron, il n'y a pas eu d'augmentation de l'excès de mortalité mais une baisse.
4/n Pourtant, depuis début janvier, il y a eu environ 11 millions de tests positifs comptabilisés qui peuvent représenter en réalité 22 à 33 millions de personnes infectées par Omicron. L'incidence d'Omicron a atteint son pic le 27 janvier.
5/n Rappelons nous que lors de la première vague l'Institut Pasteur avait estimé à environ 5% le nombre de personnes infectées soit quelques 3,5 millions de personnes et qu'on avait alors eu une surmortalité qui avait atteint 60% au pic.
6/n SPF a fait une étude pour tenter d'estimer le rôle du SARS-CoV-2 dans l'excès de mortalité noté jusqu'à fin décembre: elle conclue que le Covid a joué un rôle important.santepubliquefrance.fr/maladies-et-tr…
7/n Mais il s'agissait alors de Delta. La mortalité Delta peut se prolonger longuement, dès lors qu'on comptabilise, par exemple, des patients hospitalisés en USLD (gériatrie) comme décès Covid.
8/8 Je retiens qu'Omicron peut infecter un nombre très important de personnes, entre le tiers et la moitié de la population, sans provoquer de surmortalité supplémentaire.
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