Merci @CageJulia de rappeler que notre système mène avec le temps à la concentration des richesses sur quelques un, et que cette concentration financière au départ mue en une concentration de pouvoir.
Quand #Drahi rachète #Bfmtv, il ne le fait pas par philanthropie.
Pour les semi-intelligents qui seraient tentés de dire que la richesse d'Elon Musk est "virtuelle", comment aurait-il pu acheter Twitter sans faire du levier en mettant son patrimoine en collatéral (notamment ses actions #Tesla)
Par contre, posséder une richesse aussi grande que le PIB de la Grèce, ne vous permet d'acheter la Grèce (comme s'est dit dans la vidéo), mais cela veut dire que votre patrimoine (un stock) est de l'ordre de grandeur de la richesse créée par la Grèce sur une année (un flux).
Ce qu'explique @CageJulia est inhérent à tout système fondé sur la dette avec intérêts.
Pas un journaliste pour lui dire que la fausse "maîtrise" de l'#inflation se fait au prix d'un endettement public de plus en plus pesant sur le budget de l'État étant donné la remontée des taux d'intérêts !
Le gouvernement a simplement mis sous le tapis les problèmes liés à l'inflation.
Le budget de l'État est plombé, EDF est plombé, notre indépendance vis-à-vis des marchés financiers est plombée.
En résumé, grâce à la fausse "magie" de la dette, #Macron et @BrunoLeMaire ont socialisé le problème de l'inflation en mettant à risque le pays, sans s'attaquer au fond du problème, ni à ceux qui ont provoqué l'inflation et qui en profitent !
Normalement, la comparaison du bilan de la #BCE (en blanc) et l'explosion de l'inflation des prix à la consommation (en doré) devrait suffire pour la convaincre.
Mais comme tata Christine apprend l'économie en regardant les vidéos youtube d'heureka, il en faut plus.
Commençons par Lord Mervyn King, ancien gouverneur
de la Banque d'Angleterre, qui explique d'où vient l'inflation.
Tata Christine devrait écouter attentivement au lieu de nier ou de mentir.
L'État subventionne le prix de l'énergie pour financer les sanctions contre la Russie qui nous coûtent cher et qui engraissent les spéculateurs, les États qui recèlent le gaz et le pétrole russe, et les États-Unis qui nous refourguent leur gaz de schiste à 7 fois le prix.
Le gouvernement #Macron ne cesse d'avoir recours à la dette publique pour résoudre les problèmes auxquels il fait face.
C'est la solution de facilité !
Socialiser les pertes et les problèmes, privatiser les profits, et repousser à plus tard les problèmes !
Le gouvernement #Macron creuse encore et toujours la dette publique. Dans le projet de loi de finances 2023, le déficit de la France atteint environ 160 milliards d'euros. C'est presque la moitié des recettes !
Avec la politique de hausse des taux d'intérêts de la #Fed et de la #BCE, le coût de la dette des États-Unis et de la France explose !
60 milliards d'€ pour la 🇨🇵 = budget de l'Education nationale
800 milliards de $ pour les 🇺🇸 = budget de l'armée
En voulant contrôler l'inflation qu'ils ont en grande partie provoquée et qui est l'impôt du pauvre, les banques centrales sont en train d'exploser les intérêts que doivent payer les États.
Dans leur esprit, c'est un moindre coût à payer pour sauver la confiance en la #monnaie.
Les citoyens en paieront le prix via hausses d'impôts et de taxes, fermeture ou privatisation de services publics, moins de protection sociale, un départ à la retraite repoussé dans le temps, un gel des salaires des fonctionnaires, la vente au privé du patrimoine public, etc...
"Nous allons consacrer autant d'argent public pour payer les (intérêts de la dette publique) du pays que pour éduquer nos enfants."
"La charge de la dette va avoisiner les 60 milliards d'euros, soit l'équivalent du budget de l'Education nationale", alerte @FabriceBrun.
Ce député fait un constat juste.
Je me demande ce qu'en pensent les économistes (de gauche le plus souvent) qui proposaient que l'État profite des taux négatifs pour s'endetter à l'infini et au-delà ?
On fait quoi maintenant les gars ?
Certains de ces économistes qui ne prennent jamais en considérations la logique dangereuse des taux d'intérêts dans leurs raisonnements, se moquaient même de ceux qui prennent le ratio dette/pib comme une mesure de risque.