Read on Twitter
Depuis la fin de la 2e guerre mondiale, il s'est établi entre la #Russie et l'occident un étrange rapport hiérarchique. Il y avait l'#URSS qui faisait "Bouh!" et les #USA qui tremblaient. Après la chute du mur de Berlin, on espérait que tout changerait. Il y eut cette ouverture.
#Poutine ne l'a pas entendu comme on l'espérait. Il voulait bien une ouverture, surtout économique, à condition de restaurer une hiérarchie de domination sur l'#Europe. Il envahit l'#Ukraine, brandit sans cesse ses armes nucléaire et fait "Bouh!" en espérant nous faire trembler.
Je ne comprends pas ces "lignes rouges" stupides qui handicapent lourdement la défense de l'#Ukraine. Pour la 1ere fois au monde un pays envahi se voit contraint de respecter des règles qui ne le sont pas par son adversaire alors que ce dernier est même coupable de génocide!
Jamais les #USA ou l'#Europe n'osent menacer clairement la #Russie de vitrification nucléaire si cette dernière lançait sur l'#Ukraine la moindre bombinette "tactique". Trembler nous laisse dans une paralysie de soumission et c'est le crédo des militaires sur les plateaux télé.
Il peut même y avoir une gradation dans la menace: Le moindre geste de #Poutine qui se tend vers son arsenal nucléaire devrait immédiatement être assorti d'une réponse massive sur la flotte Russe, ses arsenaux et son commandement. L'#OTAN devrait en prévenir fermement la #Russie.
Sans fermeté vis à vis de la #Russie qui devrait se traduire par des mises en garde officielles nous accepterons de continuer à trembler, tel des vassaux de #Poutine. Il n'y a pas de "ligne rouge" qui tienne, surtout lorsqu'elles sont établies unilatéralement par le #Kremlin
• • •
Missing some Tweet in this thread? You can try to
force a refresh
