Jour 33 au procès des #AttentatsJanvier2015. Avec la suite de l'interrogatoire de Mohamed-Amine Fares. Cet après-midi, on doit entendre son ex-compagne et ex-belle soeur. Une ex-belle famille qui pourrait être derrière la lettre anonyme qui l'a dénoncé à une juge d'instruction.
Ce matin, c'est une enquêtrice à la barre, qui raconte le départ des frères Belhoucine avec Hayat Boumeddiene, fiancée d'Amedy Coulibaly. Ils ont fui en Syrie juste avant les #AttentatsJanvier2015. Tous trois sont accusés et jugés en leur absence à ce procès.
Et (re)voilà le portrait d'Hayat Boumeddiene, veuve d'Amedy Coulibaly. Elle est la seule femme accusée de ce procès, la grande absente. Elle est en cavale, a priori en Syrie. franceinter.fr/hayat-boumeddi…
La suite de ce LT est assurée aujourd'hui par @ChPiret de @franceinter avec les dessins de Matthieu Boucheron à venir pour ce jour 33, au procès des #AttentatsJanvier2015.
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L'audience reprend, avec une enquêtrice de SDAT, qui va raconter la garde à vue de trois des accusés, Ali Riza Polat, Abdelaziz Abbad et Miguel Martinez.
Garde à vue en février 2015 pour Ali Riza Polat, dénoncé par un co-accusé Willy Prévost, décrit comme un individu de "forte corpulence, turco-kurde, habitant Viry en IDF, en contact avec deux Ardennais". Les deux Ardennais : Martinez et Abbad.
Jour 32 au procès des #AttentatsJanvier2015. Aujourd'hui, la cour va interroger l'accusé Mohamed-Amine Fares, fils de l'employeur de l'accusé Saïd Makhlouf. Ils sont voisins de box à ce procès.
L'audience rouvre et le président de la cour fait le point sur le nombre de témoins qui auraient dû parler de Mohamed-Amine Fares et ne viendront pas car sont introuvables ou ont dit leur refus de venir. Des mandats d'amener ont été ordonnés.
Jour 31 au procès #AttentatsJanvier2015, avec la suite de l'interrogatoire de Mickaël Pastor Alwatik, un accusé qui s'est emmêlé dans ses mensonges depuis sa garde-à-vue. Mensonges régis par la peur, a-t-il dit, sans totalement convaincre.
Voici le compte-rendu de la joiurnée d'hier où l'on a vu à la barre des témoins, la soeur juive de Mickaël Pastor Alwatik, et aussi son ex-femme, salafiste, répudiée. franceinter.fr/justice/au-pro…
L'audience a repris, avec lecture de PV sur un témoin pas venu. Le président lit la déposition du témoin qui a cédé une moto à Coulibaly, la moto qui a servi à aller à #Montrouge, où la policière Clarissa Jean-Philippe a été tuée le 8 janvier 2015.
Jour 29 au procès des #AttentatsJanvier2015. Aujourd'hui, la cour va interroger l'accusé Saïd Makhlouf, cousin lointain de Amar Rendant. Ils sont côte à côte dans le box.
Saïd Makhouf a les épaules carrées, comme ses lunettes. Cheveux ondulés noués en catogan. Il était ambulancier. N'avait jamais été incarcéré avant cette affaire. On l'accuse d'avoir recherché des armes pour Amedy Coulibaly.
On l'accuse d'avoir recherché ces armes dans le nord de la France avec Amar Ramdani. Ils avaient dit en instruction que Saïd Makhlouf allait à Lille et Roubaix voir des prostituées.
Jour 28 au procès des #AttentatsJanvier2015. Aujourd'hui, la cour continue l'interrogatoire de l'accusé Amar Ramdani.
Le président commence par préciser, en ouverture de l'audience, que Mohamed Sifaoui ne sera pas entendu comme témoin. "La cour est suffisamment informée", tranche le président.
La cour et les avocats évoquent un nouveau planning d'audience. Ils ne sont pas d'accord. Le président a annoncé une audience le 11 novembre et pas le 12. Me Saint Palais ne veut pas venir le 11 novembre, jour férié "de la République".
Jour 27 au procès des #AttentatsJanvier2015. Aujourd'hui, la cour va interroger l'accusé Amar Ramadan, celui qui a fait de la poésie dans son box, cité Boris Vian.
Amar Ramdani est aussi celui qui a été accusé un temps d'avoir tiré sur le joggeur le 7 janvier 2015 au soir, avant que les juges d'instruction ne l'innocentent sur ce point. En tout cas, il n'est plus poursuivi pour cette tentative d'assassinat.
Amar Ramdani a été arrêté en janvier 2015 pour une affaire de trafic de stupéfiants et d'armes de guerre en Espagne. Mais on s'est vite rendu compte qu'il s'agissait d'une usurpation d'identité. On a arrêté de le poursuivre dans cette affaire.