L’ARN contenu dans les vaccins de Pfizer/BioNtech, Moderna et CureVac/Bayer est un produit de synthèse, qui n’a rien à voir avec l’ARN auquel on peut être exposé dans l’environnement puisque sa structure génétique a été modifiée intentionnellement pour être assimilable, justement
Cette modification de la structure génétique de l’ARN est d’ailleurs le cœur de la Recherche de Katalin Karikó, pionnière de l’ARN synthétique, qui a cherché comment injecter l’ARN sans générer de graves réactions inflammatoires
Suite à ces travaux, on a modélisé sur ordinateur une construction génétique artificielle, un brin d’ARNm codant pour la protéine Spike (un brin d’ARNm modifié donc, pour être capable de passer inaperçu dans l’organisme) infogm.org/7096-des-vacci…
Ne restait plus qu’à la synthétiser en masse pour l’utiliser comme vaccin génique.
Pour la production de son vaccin à ARNm synthétique, CureVac s’associe avec Bayer-Monsanto mais aussi avec Tesla. Ce dernier fabriquera des imprimantes à ARNm : google.fr/amp/s/www.usin…
Pourquoi Bayer se lance dans les vaccins à ARN synthétique ?
Parceque l’ARN synthétique est une biotechnologie qui lui permettra d’acquérir une toute puissance sur le vivant une fois maîtrisée, en l’utilisant notamment comme « pesticide génique » :
L’industrie (pharmaceutique, agrochimique...) mise donc sur la biologie synthétique qui a pour objet de recréer des éléments constitutifs du vivant afin d’en explorer de nouvelles potentialités.
Elle vise, en quelque sorte, à libérer la biologie du carcan de l’évolution, pour donner à l’homme le pouvoir de façonner des objets biologiques nouveaux, qui n’ont pas, ou plus, d’équivalent dans la nature.
Le même délire techno-fasciste qu’avec les OGM et CrisprCas 9 :
En 2002, la biologie de synthèse fait ses début et s’invite en virologie… avec la « recréation » d’un virus de la poliomyélite produit à partir de séquences d’ADN synthétiques introduites dans un plasmide permettant de transfecter des cellules eucaryotes.
En 2005, une publication de l’équipe de Garcia-Sastre expliquait comment synthétiser le virus de la grippe pandémique de 1918.
Le terme de ressuscitation a été utilisé à cette occasion… ce qui aurait pu s’appliquer si les virus étaient considérés comme des êtres vivants.
Ce virus de la grippe espagnole, à l’origine de la disparition 20 à 50 millions de personnes, a laissé de tristes souvenirs dans la mémoire collective.
Il aura fallu pour les labos chercher la séquence du virus dans des blocs paraffinés de poumon de patients décédés en 1918, et sur un poumon congelé issu d’une victime enterrée dans le permafrost de l’Alaska, afin de réussir à synthétiser ce virus.
Ce travail, présenté comme le moyen de mieux connaître le virus et de tester médicaments et vaccins, a été critiqué, notamment quant au risque de le voir un jour réapparaître et échapper des mains de ses créateurs.
À l’été 2017, la revue Science annonçait la circulation dans les rédactions scientifiques, d’un article décrivant la synthèse artificielle du virus horsepox (proche de la variole) L’auteur était David Evans de l’université d’Alberta à Edmonton, au Canada. sciencemag.org/news/2017/07/h…
Il travaillait pour le compte de la société Tonix Pharmaceuticals. Cet article a été finalement publié en janvier 2018, dans la revue PLoS One qui annonçait avoir obtenu l’aval de son comité interne, une procédure utilisée pour les articles posant des problèmes éthiques.
La justification scientifique de cette recherche était que le virus avait disparu spontanément et que le Centers for disease control (CDC), aux États-Unis, ne souhaitait pas transmettre sa souche.
Le pire, c’est que Tonix Pharmaceuticals, dont l’objectif officiel était de produire un vaccin contre la variole, a sous-traité sa néosynthèse… moyennant 100.000$.
10 plasmides couvrant entièrement le génome du virus furent commandés, en utilisant la vaccine et un virus helper.
La présentation du processus, y compris la commande de ces plasmides à des firmes de biotechs est arrivé… par la poste.
Cela a inquiété les autorités de régulation. Ce travail a soulevé un vent immédiat de réprobations scientifiques.
Une série de critiques ont été publiées dans plusieurs revues. Les auteurs ont tenté de justifier leur acte par l’intention altruiste de construire un vaccin, mais leur argumentation ne tenait pas au vu des besoins et du marché possible.
Surtout, leur acte donne le pouvoir de recréer le virus de la variole à quiconque disposerait de 100.000 $, ce qui représente une somme modeste au regard des moyens financiers dont disposent les organisations terroristes internationales, étatiques ou non.
Cette justification rappelle celle des développeurs de virus informatiques, qui construisent des logiciels malveillants dans le seul but de mieux vendre leurs logiciels anti-virus. La biologie virale deviendrait donc l’otage d’une logique marchande et informaticienne…
La biologie de synthèse met à disposition des recettes de cuisine permettant de synthétiser des fléaux. Des machines à tuer, littéralement. 2 des 3 virus développés par la biologie de synthèse sont des virus très mortels. medecinesciences.org/en/articles/me…
La biologie de synthèse financée par Bayer & Co travaille aussi à assembler des brins d’ADN synthétiques pour créer des bactéries synthétiques: des machines qui reproduisent la sélection naturelle et l’évolution. societechimiquedefrance.fr/ARN.html
En produisant de telles bactéries, les chercheurs ont créé des organismes synthétiques (non-vivants) qui peuvent évoluer hors du laboratoire, et donc entrer en compétition et échanger du matériel génétique avec les espèces vivantes.
Ces bactéries frankenstein sont déjà utilisées - de manière totalement irresponsable d’un point de vue éthique et écologique - dans des essais cliniques sur des humains : amp.topsante.com/medecine/malad…
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☢️#Thread Omerta sur le risque nucléaire & dictature des lobbies
L’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) a censuré un article de sa chercheuse Christine Faussert qui lançait l’alerte sur le risque nucléaire, puis l’a carrément licencié fukushima-blog.com/2020/09/l-irsn…
La nouvelle est devenue publique le 23 septembre 2020 dans un article du canard enchaîné :
Une chercheuse au Laboratoire des SHS de l’IRSN - l’établissement public en charges de l’expertise sur les risques nucléaires - le Dr C. Fassert, licenciée le 16 juin 2020 pour faute grave
Tout de suite après, en protestation, David Boilley, physicien nucléaire très impliqué dans la recherche d’informations sur la catastrophe de Fukushima, démissionne du Comité d’Orientation des Recherches (COR) de l’IRSN.
Gérald Bronner est invité sur les plateaux TV et sollicité par Macron (pendant les GJ) mais il n’est cité dans aucun travaux universitaires en Sciences Humaines et Sociales (celles qui se font à l’Université, non dans les think tank telle l’AFIS et sa revue où écrit Bronner).
#Thread Essure : La société civile contre Bayer. Un scandale sanitaire étouffé par les autorités françaises.
Essure est un implant contraceptif définitif commercialisé par Bayer depuis 2002 jusqu’en 2017 en UE et jusqu’en 2018 aux USA.
Ces contraceptifs, qui se présentent sous la forme de mini-ressorts en polyéthylène placés sur les trompes de Fallope, ont été vendus à 1 million d'exemplaires dans le monde et posés sur 175.000 françaises.
GAB utilise le code source du logiciel #Mastodon mais le réseau a été banni de la communauté des logiciels libres (#Fediverse) à laquelle appartient le réseau #Mastodon pour cause d’être un repère de terroristes néo-nazis.
Mastodon est le nom d’un logiciel libre et d’un réseau social decentralisé dont la structure et le fonctionnement sont basées sur une philosophie anarchiste : l’auto-gestion démocratique des moyens de communication (en attendant celle des moyens de production...)
...Pendant que Moderna reçoit le prix Shkreli du Lown Institute qui récompense « les pires exemples d'enrichissement et de dysfonctionnements dans la santé » korii.slate.fr/biz/covid-19-v…
Ce prix porte le nom du PDG Martin Shkreli qui avait racheté l'exclusivité d'un médicament contre le sida vieux de 62 ans afin d'augmenter son prix de 5.000% –le PDG purge par ailleurs une peine de prison de sept ans pour fraude et manipulation d'actions.
Le Lown Institute fustige «l'avidité» d'une entreprise qui n'a aucun bilan dans la production de vaccins et a mis au point son vaccin à ARN avec l’argent des contribuables.
Malgré un financement public d'un milliard $, Moderna a fixé des prix très élevés (30 $ les 2 doses)
En réalité Twitter a subi un boycott des annonceurs (Verizon, Unilever, Coca-Cola, Levi's, Starbucks, Ben&Jerry's, Patagonia, The North Face, REI, Upwor...) suite à une attitude jugée trop permissive vis à vis des comptes pro-Trump et des discours haineux google.fr/amp/s/www.lese…
D’un côté Twitter a peur de perdre des utilisateurs et donc des revenus, de l’autre les marques ont lancé une opération marketing #StopHateForProfit (« Non à la haine pour le profit »), soutenue par des associations de défense des droits, pour surfer sur le mouvement #BLM.