☢️#Thread Omerta sur le risque nucléaire & dictature des lobbies
L’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) a censuré un article de sa chercheuse Christine Faussert qui lançait l’alerte sur le risque nucléaire, puis l’a carrément licencié fukushima-blog.com/2020/09/l-irsn…
La nouvelle est devenue publique le 23 septembre 2020 dans un article du canard enchaîné :
Une chercheuse au Laboratoire des SHS de l’IRSN - l’établissement public en charges de l’expertise sur les risques nucléaires - le Dr C. Fassert, licenciée le 16 juin 2020 pour faute grave
Tout de suite après, en protestation, David Boilley, physicien nucléaire très impliqué dans la recherche d’informations sur la catastrophe de Fukushima, démissionne du Comité d’Orientation des Recherches (COR) de l’IRSN.
David Boiley, qui soutient Christine Fassert, explique :
« Cet évènement est très inquiétant car il montre que l’Institut n’est pas disposé à accepter des résultats de recherches qui remettent en cause ses préjugés.
Ce n’est pas la seule personne à avoir subi la rigidité de cet institut, mais c’est la première fois que cela conduit à un licenciement, ce qui est proprement scandaleux. »
Selon les experts indépendants, « le mot d’ordre de la direction de l’IRSN est la minimisation à tous crins des risques liés à l’exposition à la radioactivité. »
Or, Christine Fassert, sociologue, travaillait sur Tchernobyl et s’était impliquée dans le projet de recherche Shinrai visant à étudier les conséquences sociales, politiques, éthiques de l'accident de Fukushima.
L’accident de Fukushima a eu notamment pour conséquence de rouvrir la controverse sur l’exposition à de faibles doses de radioactivité.
Ce thème est très sensible à l’IRSN car l’institut communique imperturbablement depuis sa création en 2001 sur le fait que les faibles doses ne sont pas dangereuses pour la santé, ou que l’on ne peut rien dire pour l’instant et que la recherche répondra bientôt à cette question.
Seulement, au bout de plusieurs décennies, et alors même que de nombreuses études prouvent que les faibles doses présentent un risque pour la santé, le discours de l’IRSN reste le même : on ne peut rien affirmer.
Les lobbyistes et les experts, souvent français, ne manquent pas une occasion de banaliser le problème. Au printemps 2011, leur 1ère action, dans un Japon sous le choc, était de suggérer une augmentation du seuil minimal de tolérance pour le corps humain (20 -> 100 millisieverts)
En février 2020, Christine Faussert s’apprêtait à transmettre à la revue « Les Annales des Mines » un article sur l’accident de Fukushima.
Mais le supérieur hiérarchique de Christine Fassert « voulait imposer des changements voire censurer des mots et des phrases de l’ article »
Ceci afin d’« écarter les critiques envers la gestion post-accidentelle du gouvernement japonais, et du secteur nucléaire civil en général » et de « minimiser et relativiser le risque lié à l’exposition aux radiations ». fukushima.eu.org/fukushima-et-l…
Dans un témoignage écrit destiné aux prud’hommes, l’une de ses partenaires de recherche – une sociologue rattachée à un laboratoire de Sciences-Po Paris – la soutient, dénonçant les pressions du chef direct de Christine Fassert.
Labo contre lobby ?
De plus, ajoute la collègue, le responsable du labo l’aurait menacée de bloquer le financement de l’IRSN à SciencesPo si les chercheuses n’orientaient pas leurs recherches différemment. google.fr/amp/s/snesupor…
L’article n’est donc pas paru, mais la chercheuse donnait le ton de ses Recherches dans un article de Libé en 2019 :
« Les scientifiques locaux ont constaté une baisse générale dramatique du niveau de santé des enfants :
le nombre d’enfants "pratiquement sains" a diminué de 80% en 1985 à 20% en 2000», «ces données "locales" ne furent pas reprises en compte par les rapports que nous avons appelés "institutionnels"». liberation.fr/checknews/2019…
La chercheuse a donc refusé d’accepter des modifications de son article qui pouvaient aller jusqu’à la censure de phrases. C’est tout à son honneur. La science ne fait pas bon ménage avec le dogme. L’affaire est portée aux Prudhommes. Une 1ère audience est prévue fin janvier.
« Après le licenciement de la sociologue Christine Fassert, un collectif de chercheurs dénonce le retour de méthodes autoritaires et de censure dans les organismes nucléaires. » lemonde.fr/idees/article/…
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Gérald Bronner est invité sur les plateaux TV et sollicité par Macron (pendant les GJ) mais il n’est cité dans aucun travaux universitaires en Sciences Humaines et Sociales (celles qui se font à l’Université, non dans les think tank telle l’AFIS et sa revue où écrit Bronner).
#Thread Essure : La société civile contre Bayer. Un scandale sanitaire étouffé par les autorités françaises.
Essure est un implant contraceptif définitif commercialisé par Bayer depuis 2002 jusqu’en 2017 en UE et jusqu’en 2018 aux USA.
Ces contraceptifs, qui se présentent sous la forme de mini-ressorts en polyéthylène placés sur les trompes de Fallope, ont été vendus à 1 million d'exemplaires dans le monde et posés sur 175.000 françaises.
L’ARN contenu dans les vaccins de Pfizer/BioNtech, Moderna et CureVac/Bayer est un produit de synthèse, qui n’a rien à voir avec l’ARN auquel on peut être exposé dans l’environnement puisque sa structure génétique a été modifiée intentionnellement pour être assimilable, justement
Cette modification de la structure génétique de l’ARN est d’ailleurs le cœur de la Recherche de Katalin Karikó, pionnière de l’ARN synthétique, qui a cherché comment injecter l’ARN sans générer de graves réactions inflammatoires
GAB utilise le code source du logiciel #Mastodon mais le réseau a été banni de la communauté des logiciels libres (#Fediverse) à laquelle appartient le réseau #Mastodon pour cause d’être un repère de terroristes néo-nazis.
Mastodon est le nom d’un logiciel libre et d’un réseau social decentralisé dont la structure et le fonctionnement sont basées sur une philosophie anarchiste : l’auto-gestion démocratique des moyens de communication (en attendant celle des moyens de production...)
...Pendant que Moderna reçoit le prix Shkreli du Lown Institute qui récompense « les pires exemples d'enrichissement et de dysfonctionnements dans la santé » korii.slate.fr/biz/covid-19-v…
Ce prix porte le nom du PDG Martin Shkreli qui avait racheté l'exclusivité d'un médicament contre le sida vieux de 62 ans afin d'augmenter son prix de 5.000% –le PDG purge par ailleurs une peine de prison de sept ans pour fraude et manipulation d'actions.
Le Lown Institute fustige «l'avidité» d'une entreprise qui n'a aucun bilan dans la production de vaccins et a mis au point son vaccin à ARN avec l’argent des contribuables.
Malgré un financement public d'un milliard $, Moderna a fixé des prix très élevés (30 $ les 2 doses)
En réalité Twitter a subi un boycott des annonceurs (Verizon, Unilever, Coca-Cola, Levi's, Starbucks, Ben&Jerry's, Patagonia, The North Face, REI, Upwor...) suite à une attitude jugée trop permissive vis à vis des comptes pro-Trump et des discours haineux google.fr/amp/s/www.lese…
D’un côté Twitter a peur de perdre des utilisateurs et donc des revenus, de l’autre les marques ont lancé une opération marketing #StopHateForProfit (« Non à la haine pour le profit »), soutenue par des associations de défense des droits, pour surfer sur le mouvement #BLM.