L’autorisation de mise sur le marché qui a été donnée aux fabricants en procédure accélérée par l’EMA est conditionnelle. Les laboratoires doivent encore « fournir les résultats de l’essai principal, qui se poursuit pendant deux ans ».
L’autorisation de mise sur le marché a été octroyée à Pfizer le 21 décembre 2020 jusqu’en décembre 2022. Le « rapport final de l’étude clinique » sera remis en décembre 2023.
Pour Moderna, l’autorisation a été donnée le 6 janvier 2021 jusqu’en janvier 2023. Le « rapport final de l’étude clinique » sera remis en décembre 2022.
Le fait qu’il s’agisse d’une vaccination en phase expérimentale ne saurait donc faire de doute. La formule « essai clinique » utilisée par l’Agence européenne est sans équivoque. Cette notion est définie par la directive 2001/20/CE du Parlement européen.
Selon ce texte, un essai clinique est une « investigation menée chez l’homme, afin de déterminer ou de confirmer les effets cliniques, pharmacologiques et/ou pharmacodynamiques d’un ou de plusieurs médicaments expérimentaux dans le but de s’assurer de leur innocuité/efficacité ».
En réalité, ces essais cliniques ne mesurent que l’efficacité des vaccins. Sous prétexte de « protéger » les participants, les laboratoires ont vacciné les groupes placebo, sensés aider à mesurer l’innocuité des vaccins.
L’ensemble de ces informations suffisent à convaincre que la pandémie de covid-19 a conduit les autorités sanitaires à autoriser une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine.
En période d’urgence, rien ne semble pouvoir juridiquement s’y opposer tant sur le plan de la santé individuelle afin de protéger les personnes vulnérables que sur le plan de la santé publique pour éviter la saturation des structures hospitalières.
Cependant, ce dernier argument est largement hypocrite puisque le gouvernement précarise sciemment l’HP pour privatiser le secteur de la santé et ouvrir les marchés du numérique et des biotechnologies.
En revanche le caractère expérimental de la vaccination invite le juriste à en recontextualiser l’usage, car en cette matière, le droit interne comme le droit international ont historiquement construit la notion de consentement du sujet comme garde-fou pour empêcher toute dérive.
Dès lors, ce principe du consentement semble suffisamment bien établi pour constituer un obstacle à l’obligation vaccinale aussi longtemps que les phases de tests cliniques ne seront pas terminées (Moderna : fin 2022 ; Pfizer : fin 2023)
Le gouvernement bluff et fait pression sur les citoyens pour leur faire accepter des produits expérimentaux, tout en boycottant les traitements et en précarisant l’Hopital Public régulièrement saturé depuis des années.
Stop au capitalisme effréné. Nos vies avant leurs profits!
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La refonte avancée par la loi du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021, dite loi de #LFSS pour 2021 a notamment pour objet les notions d’« accessibilité » et d’« innovation thérapeutique ».
« Comment accélérer l’accès aux traitements, améliorer l’attractivité et la prévisibilité pour les entreprises ou encore garantir la soutenabilité financière de l’assurance maladie ? »
Du bullshit néoliberal pour justifier l’emprise néfaste du secteur privé sur la santé publique
#Thread Non aux jeunesses macroniennes ! non au Service National Universel (SNU) !
Le gouvernement formate les jeunes esprits avec son SNU qui n’est rien d’autre qu’un outil rétrograde de militarisation de la jeunesse et de soumission à l’ordre néolibéral manif-est.info/NON-A-LA-MILIT…
Alors que les établissements scolaires et les collectivités locales, étranglées par l’Etat des ultra-riches, manquent de ressources, le SNU va aspirer les moyens financiers du ministère de l’Education Nationale : 3 à 6 milliards d’euros par an passeront aux mains des militaires.
Le SNU met à contribution personnels et locaux des collectivités territoriales.
Dans le dispositif final, les «séjours de cohésion» seront supervisés par l’armée, sur temps scolaire, dans des locaux destinés à l’enseignement - pendant que les enseignants sont dispensés de cours.
#Thread
Spoil : C’est #Vrai. Fin de la phase 3 en 2023 pour le vaccin Pfizer. On avance👏
❌ En revanche, le reportage sous entend qu’évaluer la sécurité des vaccins jusqu’à la fin de l’essai n’est pas nécessaire. C’est aussi la position de BigPharma.
On constate le même biais que pour l’hypothèse de la fuite du SARS-CoV-2 d’un labo : c’est complotiste jusqu’à ce que des chercheurs comme @DecrolyE ou des journalistes comme #NicholasWade, qui montrent que c’est techniquement possible, soient entendus blogs.mediapart.fr/laurent-mucchi….
Il est techniquement possible qu’un vaccin pose des problèmes de sécurité à court, moyen et long terme, surtout quand les technologies utilisées pour les produire sont «innovantes» c’est à dire expérimentales.
Les premiers résultats de la Campagne Glyphosate sont alarmants : 7.000 personnes ont participé à l’étude. 99,7% d’entre elles présentent un taux élevé de cet herbicide nocif et polluant dans les urines. m.reporterre.net/Les-pisseurs-d…
La répression des défenseurs du vivants, notamment des militants anti-glyphosate, se durcit en France :
Aux États Unis, comme en Europe, les vaccins n’ont reçu que des « autorisation de mises sur le marché conditionnelles » un mécanisme d’approbation accéléré, possible lorsque les autorités décrètent une « situation d’urgence ».
Ces autorisations d’urgence peuvent être converties en autorisations de mise sur le marché standard, après la publication de données complémentaires, mais cela ne s'est pour l’instant produit pour aucun vaccin covid.
#Sedan : un jeune Afghan de 14 ans, arrivé en France en septembre 2020, scolarisé en 5ème au Collège Le Lac, a été raflé en pleine classe par la Police.
Mercredi dernier, E. Macron a réuni plusieurs ministres pour réclamer une meilleure efficacité des expulsions des étrangers.
Depuis, le corps enseignant vit dans la peur que des mineurs étrangers scolarisés dans leurs établissements soient menacés.
Son enseignante en français, Anne-Hélène Texier :
« Cela faisait une semaine que je m'inquiétais. Quelqu'un est venu le chercher en classe pour lui demander de le suivre. Il n'a même pas pu dire au revoir à ses camarades »