Thread by @CalliFanciulla

🔴 #RussiaUkraineWar 🇷🇺 🇺🇦 #Allemagne 🇩🇪 #France 🇫🇷

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Sans l'implication allemande, les États-Unis auraient été incapables de poursuivre leurs objectifs en Europe par le biais d'un conflit militaire.

Le chancelier Olaf #Scholz a eu beaucoup de mal à se décider. D'une part 🔽

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il y avait la forte pression de la Maison Blanche, et d'autre part les intérêts nationaux résultant de la dépendance de l'économie du gaz naturel bon marché. Ce que Joe #Biden ne peut pas fournir.
Il ne faut pas oublier les problèmes de Scholz avec la justice (accusations 🔽

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de corruption), ainsi que le fait que le téléphone de la chancelière Merkel avait été mis sous écoute par les services de renseignement américains. Il est très difficile de croire que le téléphone de Scholz a été laissé sans surveillance. Car, n'est-ce pas, quoi de plus 🔽

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précieux qu'un haut responsable politique soumis au chantage ?
Rappelez-vous les jours qui ont précédé le debut de la guerre, lorsque la Maison Blanche s'efforçait de faire promettre à Scholz de fermer NordStream2 dès que les Russes seraient entrés en Ukraine et les médias 🔽

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ont ridiculisé le chancelier, lui reprochant de n'envoyer à Zelensky que des casques de protection. On peut dire que les négociations en coulisses entre le Kremlin et la Maison Blanche, une fois qu'elles ont échoué, n'ont laissé place qu'à une seule option, la plus brutale 🔽

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la plus violente. D'où la certitude avec laquelle Joe Biden a annoncé la guerre, que Poutine a reportée dans l'espoir de pourparlers de dernière minute. Ce ne fut pas le cas, hélas.
Les longs dîners du Kremlin, avec Macron et Scholz ridiculisés, n'ont servi qu'à inspirer 🔽

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des ironies sur les réseaux sociaux. Les négociations avaient échoué entre les Russes et les Américains. Les Français et les Allemands ne faisaient que simple acte de présence. Tout le monde savait (mais surtout Poutine) qu'il ne s'agissait que d'objets décoratifs 🔽

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incapables de décider d'un éventuel retournement de situation.
Le 8 février 2022, deux semaines avant le debut de la guerre, la Maison Blanche était en plein processus de contrainte contre Scholz. Deutsche Welle, une publication sous influence américaine (comme la plupart 🔽

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des médias MSM en Allemagne) a tenté dans un article d'opinion de montrer à quel point le chancelier Scholz est obstiné et désobéissant. Le titre du matériel parle de lui-même : "Mission échouée : Scholz rend visite Biden, les mains vides".
Aucune promesse de couper 🔽

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l'approvisionnement en gaz des Russes via NordStream2. "Avant l'arrivée du chancelier à Washington, la grande question des Américains était : peut-on compter sur Scholz ? Pour cette raison, le président Biden n'a cessé de répéter qu'il ne doutait pas que l'Allemagne et 🔽

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Scholz soient "absolument dignes de confiance". Les derniers mots ont probablement été soufflés à l'oreille de Biden par les services secrets. Ils savaient très bien pourquoi Scholz est "absolument fiable", bien qu'apparemment hésitant.
L’actuel chancelier a donc trahi 🔽

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sans broncher les intérêts nationaux et les citoyens allemands l'ont vu sans aucun doute, preuve que la plupart d'entre eux le détestent désormais.
Comble du mauvais goût, les médias tentent aujourd'hui de montrer que l'entrée de l'Allemagne en récession est davantage 🔽

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liée au réchauffement climatique qu'au manque de gaz. Voici ce que titre CNN : "La chaleur extrême frappe les trois plus grandes économies du monde en même temps. Seul un miracle peut sauver l'Allemagne de la récession".
Bien sûr, Scholz avait toutes ses cartes sur 🔽

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table. Il savait ce qui l'attendait. Il en connaissait les dures conséquences pour l'Allemagne et, implicitement, pour l'Europe. Mais, comme Ursula von der Leyen dans l'affaire Albert Bourla, "il n'a pas eu le choix".
Il était dos était au mur et il a abandonné.