#covidlong, une troisième étude portant sur les données de la cohorte @PatientsComPaRe distingue 3 profils de patients à 2 ans :
5% d'amélioration rapide
90 % d'amélioration lente
5% de symptômes importants et persistants
NB : pour les 90% l'amélioration est très lente (🙏 @Jerome_Larche)
NB 2 : il n'existe à ce jour que des soins de support / palliatifs / symptomatiques pour
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pluralité des choix sémantiques est porteuse de sens).
NB3 : la définition du #covidlong telle qu'établie par le @WHO et qui est désormais utilisée dans une grande partie des études (ce qui facilite les méta-revues) est en cours de révision
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(cf. jamanetwork.com/journals/jama/…).
NB4 : même s'il faut aujourd'hui 3 mois de symptômes continus pour répondre à la définition, il est PRIMORDIAL (j'utilise rarement les majuscules mais le message est de salubrité publique) que dès 1 mois de symptômes continus les patients se
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rapprochent de leur généraliste. Il est en effet désormais établi qu'une prise en charge précoce est prédictive d'une meilleure trajectoire (point évoqué par deux intervenants lors du colloque @WHO du 11/05/2023 - cf. ma synthèse linkedin.com/posts/activity…).
C'est un message qui
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pourrait être plus et mieux diffusé.
NB5 : pour les personnes retraitées, ça n'est pas une raison - au motif du "c'est moins grave pour nous tous ces symptômes résiduels parce que nous sommes déjà vieux - sic, et que nous n'avons pas besoin de travailler", pour ne pas
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évoquer vos difficultés avec un professionnel de santé.
NB6 : la meilleure façon de ne pas expérimenter les affres des #séquelles post infection #sarscov2 demeure de ne pas être contaminé. La vaccination n'en prévient pas. Les #INM dont le port de masques de qualité #FFP2
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en milieu intérieur clos sans dispositif de purification de l'air a fortiori si peu/pas d'aération est l'un des gestes clés. Et les plus #vulnérables d'entre nous ne peuvent se protéger seuls contrairement à ce que laissent penser les choix actuels posés jusque dans les lieux
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de soins. Pour rappel le mode de transmission est très majoritairement aéroporté.
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@LCI se tromper, ça arrive. Peut être même que vous pourrez invoquer la carte du #junior voire du #stagiaire qui a publié un samedi de pont de 3 jours pour certains
Mais malgré les invitations à lire vraiment l'étude et rectifier le titre vous laissez croire à la majorité qui 1/
n'aspire qu'à #vivrecommeavant que même les #séquelles post #sarscov2 ne sont pas graves.
1️⃣ 10 % des infections mène à la case #covidlong selon les derniers chiffres @WHO ;
2️⃣ les atteintes sont multi-systémiques, parfois très invalidantes et il n'existe de traitements que 2/
symptomatiques ;
3️⃣ l'étude @PatientsComPaRe ne dit absolument pas que 90 % des patients n'ont plus de symptômes au bout de 2 ans.
Par votre travail bâclé vous mentez à ceux, trop nombreux, qui ne mesurent pas les conséquences de ce qu'ils veulent encore considérer comme un
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Jour de #MPE et jour de #clash dans les différentes communautés #CovidLong
Ce qui se passe suite à la publication de l'étude RECOVER et à la proposition de définition plus précise du #CL ⤵️ vient en écho des voix qui en France et en réaction au traitement impropre des 1/
par exemple) mettent en cause la probité des chercheurs sans même avoir pris le temps manifestement de la lire, et donc sans aucune nuance.
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J'ai fatalement une question à double face : à qui vont profiter ces tensions et qui vont-elles desservir ? Et subséquemment :
Quels soutiens vont encore choisir de ne plus investir un terrain miné ?
Quels engagés qui y ont déjà laissé des plumes vont finir par lâcher
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#maladiesnosocomiales
Alors que les uns après les autres les hôpitaux réservent le port du masque aux patients #vulnérables et éventuellement aux services où ils sont accueillis (c'est bien connu les #fragiles savent traverser en apnée les locaux pour ne respirer que là où ça 1/
n'est pas dangereux pour eux 🙊), une hausse de près de 15% par rapport à 2017 est observée concernant les infections nosocomiales, portée pour moitié par les infections #sarscov2.
Ne serait-il vraiment pas temps que la #préventionprimaire concernant la #covid19 revienne sur
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Ce matin je me permets de mêler mes mots à ceux de #JeanLavoué. Ses mots ont appelé les miens qui avaient besoin de sortir.
"Enchantement simple ce matin de me sentir pleinement vivant[e,
même si de la racine de mes cheveux
à la plante de mes deux pieds
tout mon corps crie. 1/
C'est le prix à payer pour l'éblouissement dans la prairie jeudi,
et une grosse journée hier
avec de belles personnes
et qui nous a,
à toutes et tous, ouvert des possibles.
Par des échanges en confiance, de coeur à coeur, chacun a pu s'accorder encore mieux à son être profond
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pour donner au monde la note la plus juste.
Nous que beaucoup peuvent entendre dissonants
face à la parfois morne musique du monde connaissons parfaitement les règles dans un orchestre symphonique.
Nous les acceptons même.
Mais nous savons aussi que de la diversité 3/
Non le #handicap n'a rien de #fun@LucieCarrasco.
Parce que la mobilité n'est pas le seul souci du handicap (80% de handicaps invisibles 💢).Et il y a même des personnes battantes & résilientes qui cumulent les handicaps invisibles, n'ont pas de fauteuil mais n'iront jamais en 1/
Californie car elles doivent leur rétablissement au fait d'accepter de vivre dans un cercle de 30 kms de diamètre, par exemple. Et de renoncer à toute vie sociale.
Nous avons tous, c'est humain, tendance à penser les choses à l'aulne de nos vécus. Mais personne ne peut se
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poser en archétype. Et j'espère donc que dans vos nouvelles attributions vous en aurez bien conscience.
Parler de glamouriser les choses n'est audible que par des valides ou des malades chanceux car soutenu par 1 environnement porteur.
Or le handicap est souvent synonyme
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2️⃣ les malades concernées car il me semble depuis un moment que cela explique ce que certaines prennent encore pour des rechutes ; quand certaines anciennes figures de la mise en visibilité des symptômes prolongés au printemps 2020 parlaient en généricisant, de #lunesdemiel
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et de #rechutes, elles étaient, sans le savoir, dans le vrai (et aussi bien irritantes pour ceux dont l'expérience des symptômes était un grand continuum, bien que j'ai vite conçu la déception que ce profil de malades pouvait ressentir après chaque phase de mieux en rechutant)
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