De la même façon qu'elle avait résumé de très longues phrases en "c'est du harcèlement [+/- sexuel]", de très longues minutes de description en "c'est du contrôle", des minutes de larmes en "c'est un viol".
Alors que j'avais passé la nuit à pleurer sur le sol de la salle de bains ou à hurler, ou enfermée dans la petite pièce. C'était encore lui qui faisait un effort.
Moi, en plus d'être bruyante et invivable au quotidien, aucun.
Et il s'affichait après par moi ou par lui sur tous les réseaux sociaux. Regardez ce mari exemplaire.
Difficile de raconter la violence. De ne pas minimiser.
Il avait raison. Quelque chose s'était bel et bien passé.
A me demander de mes nouvelles quand j'était en hébergement d'urgence avant de me demander de changer ses draps quand je viendrais voir les enfants (emprise 100% = je faisais... oui... et je répondais à tous ses SMS, en détaillant...)
A me dire que je pouvais être sympa, quand même, parce qu'un vrai connard il m'aurait tabassée et tuée, lui il me faisait des cadeaux.
Et... ça marche !