#BlackRock gère aujourd'hui $9000 milliards !
La firme US a annoncé hier des profits records pour 2020.
Le cours de l'action a doublé en un an.
Tout cela sous fond de "crise sanitaire".
Le "virus" a été une aubaine pour opérer le plus grand transfert de richesse de l'histoire.
La crise sanitaire a accéléré le processus d'accumulation des richesses inhérent à un système monétaire qui repose sur la dette : les dettes pour les citoyens ordinaires d'un côté et de l'autre le patrimoine qui gonfle pour une minorité favorisée par les banques centrales.
Si aucune décision ou événement externe ne vient perturber ce processus d'accumulation des richesses, viendra un jour où toutes les richesses seront concentrées sur quelques individus et organisations, dont le pouvoir économique immense leur procurera un pouvoir politique total.
On comprend mieux l'idée ancienne de "jubilé de la dette" qui consiste à annuler les dettes tous les 50 ans, pour repartir de zéro. Les anciens avaient compris qu'il en allait de la paix entre les hommes.
La lecture de l'histoire avec nos yeux du XXIème siècle, nous suggère d'adopter au plus vite une monnaie souveraine, libre de toute dette, en quantité raisonnable, qui ne permette pas l'accumulation infinie. Il ne reste plus qu'à le comprendre, avant d'agir...
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Laurent pose une excellente question. Pourquoi est-il si vital pour le système financier, et plus largement pour l'économie, que le niveau des bourses soit élevé ?
Pourquoi une baisse des actions ou de l'immobilier serait une catastrophe pour le capitalisme financiarisé ?
Thread.
De nombreuses personnes pensent que les niveaux des bourses où s'échangent les actions ont peu d'importance pour l'économie réelle. Selon leur opinion, cela n'a aucun impact sur les entreprises car la bourse est principalement le marché de l'occasion.
Le marché boursier ne sert pas à financer les entreprises. D'autant plus que les multinationales ne se financent plus en émettant de nouvelles actions (augmentation de capital), elle préfèrent aller sur le marché obligataire où la monnaie créée par la BCE coule à flots.
Jusqu'en 2009, la dette publique correspondait pratiquement au cumul des intérêts versés depuis 1974 !
Ceux qui disent que la dette publique n'est pas un problème, devraient se pencher sur son origine.
À dérouler...
Bien sûr que la dette publique est un problème, sinon nous ne serions pas là à en parler quotidiennement.
Aujourd'hui, du fait de la politique monétaire de la #BCE les taux sont nuls, voire négatifs. Donc la charge des intérêts des prêts octroyés aujourd'hui seront nuls. Mais qu'en serait-il dans 5, 8, ou 10 ans quand il faudra roller la dette ? Que vaudront les taux d'emprunts ?
On apprend dans cet article de @zerohedge que #Archegos a multiplié par 5 à 8 sa mise grâce à des produits dérivés élémentaires (CFD & TRS).
La perte totale des banques impliquées risque d'être salée : jusqu'à $10/15 milliards.
Attention à l'effet domino ! zerohedge.com/markets/very-s…
On se rend compte du mensonge des banques centrales qui arrosent les marchés de monnaie d'intérêt public, en nous faisant croire que cette monnaie arroserait l'économie réelle.
Il est évident que cette monnaie nourrit la cupidité des banques et de leurs clients spéculateurs. #BCE
Sans les banques centrales complices, le château de cartes se serait effondré depuis 2008 ! C'est la course à l'effet de levier nourri par la monnaie des banques centrales qui permet à la finance de ne pas s'effondrer.
Jusqu'au jour d'un effondrement brutal, d'un retour au réel.
1. Si on considère que les banques commerciales prêtent de l'argent qu'elles ne possèdent pas, et qu'elles ne perdent jamais d'argent car elles sont "trop importantes pour faire faillite", deux options s'offrent à nous :
- la première option est la nationalisation
2. La deuxième option est de considérer que l'argent qu'elles créent et qu'elles gèrent est le notre, à tous. Dans ce cas, on peut considérer que même si la gestion de l'argent est privatisé, les gains doivent être partagés avec nous tous (l'État).
3. Pour décider de la répartition des gains, nous pouvons nous inspirer de la gestion d'actifs, et de répliquer leur model de partage des profits : les frais de gestion sont typiquement de 1 % des actifs sous gestion auxquels s’ajoutent 20 % sur les profits générés.
1. Le thésauriseur : celui qui accumule de l'argent sans le dépenser, trop occupé à le compter. Le thésauriseur, un inquiet de la vie, se sent rassurer grâce à l'idée de posséder. Alors que le thésauriseur stérilise l'argent, le banquier lui redonne vie !
2. Le preneur de risque : le banquier adore ce client, son meilleur client, celui qui n'a peur de rien, soit par goût pour le risque, soit par insouciance. Toujours prêt à s'endetter, le preneur de risque veut accumuler. A la fin, de toute façon, c'est nous qui en payons le prix.
3. Les impatients : l'impatience est la matière première des banquiers. On parle de ceux qui ne peuvent se contrôler pour acheter le dernier smartphone, pour changer leur voiture, pour partir en voyage. Les impatients courent après le temps, le banquier sait le leur faire payer !
Que penser lorsque les épargnants hurlent à l'idée de se faire taxer leurs euros dans leur comptes courant, mais qui ne se rendent pas compte que l'argent subie déjà une taxe invisible, l'#inflation, qui est un phénomène fortement lié à la création monétaire par le crédit ?
Même avec les chiffres de l'INSEE qui sous-évalue la hausse réelle des prix, 100€ de 2008 ne valent plus en pouvoir d'achat que 85€ en 2021.
On entend pas les épargnants hurler leur désespoir. Mais à qui profite vraiment la création monétaire, le crédit, les intérêts touchés ?
Ceux qui hurlent quand il s'agit de taxer la monnaie elle-même, acceptent de payer l'impôt sur le revenu du travail qui a été introduit en 1913 aux États-Unis pour payer les intérêts de la dette publique à la banque centrale nouvellement créée, la #FED, une institution privée.