Furthermore, the price of #nuclear power is unrelated to its environmental footprint, which is the point of the taxonomy.
The question of the price should be in no way an argument for the inclusion or exclusion of nuclear energy in the taxonomy.
[2/10]
That being said, if you want to talk about energy costs, you can't just talk about LCOE. You also have to take into account system costs (networks and flexibility).
[3/10]
Taking into account system costs, nuclear power remains competitive with renewables (although the LCOE of some renewables is lower).
See for example this study commissioned by the Dutch government from ENCO.
See also this recent study performed by @rte_france, the French power grid operator, in which RTE demonstrates that scenarios with nuclear power are cheaper than those without nuclear power, because of flexibility and grid costs.
To be credible, taxonomy should not be opinion-based but science-based. Of course every country has the right to develop nuclear power or not according to their wishes.
[7/10]
But the inclusion in/exclusion from the taxonomy should be driven only by facts and not by emotions.
Is radioactive waste managed to prevent any harm to people's health and environment or not?
[8/X]
Does nuclear power consume a large amount of materials and land per kWh or not? Does it contribute to soil and water acidification and eutrophication or not?
[9/10]
This and only this should drive inclusion or exclusion in the taxonomy, if it is to do what it was created to do: direct investment towards the least environmentally damaging energies and technologies.
[10/10]
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Ce que l'article ne dit pas, c'est que c'est incompatible avec l'objectif allemand d'atteindre la neutralité carbone en 2045.
[2/5]
Par contre, l'article défend bien une inclusion laxiste du gaz fossile dans la taxonomie (liste des investissements durables que la Commission européenne est en train de mettre en place).
Avec mes collègues Bertrand Charmaison et @SSarrade, nous avons publié le texte suivant dans @LaTribune, dans lequel nous appelons à corriger le mécanisme permettant de garantir l'origine de l'électricité, aujourd'hui défaillant.
Ce mécanisme, actuellement ouvert uniquement aux énergies renouvelables à l'échelle européenne, permet en pratique d'étiqueter comme « renouvelable » de l'électricité quelle que soit son origine physique (renouvelable ou non).
[2/10]
En permettant aux usagers de consommer de l'électricité étiquetée « renouvelable » sans surcoût pour investir dans du stockage ni contrainte pour s'adapter à l'offre, ce système dissuade tout effort de flexibilisation de notre système électrique.
Quelques remarques générales sur l'annonce par @EDFofficiel de l'arrêt de ses 2 réacteurs nucléaires de Chooz (et de la prolongation de l'arrêt des deux de Civaux), et des conséquences sur la sécurité d'approvisionnement électrique cet hiver.
Tout d'abord, il faut s'attendre à faire face à ce genre d'annonce dans les prochaines années. Le système électrique français est « sans marge » (pour reprendre les mots du gestionnaire du réseau électrique RTE, même s'ils datent un peu).
[2/12]
Notre pays a en effet réduit son parc pilotable d'environ 10 GW ces dix dernières années. Il s'agit principalement de la fermeture de centrales à charbon, à fioul et de la centrale nucléaire de Fessenheim.
Les véhicules électriques émettent davantage de gaz à effet de serre (GES) à la production que leurs équivalents thermiques du fait de la production de la batterie, mais moins à l'usage (surtout si l'électricité est bas carbone).
Les véhicules électriques ne sont donc pas sans émission, mais ils émettent normalement moins de GES sur leur cycle de vie que leurs équivalents thermiques, surtout si :
- ils sont légers ;
- l'électricité qui les alimente est bas carbone.
Si son usage est en déclin dans les pays riches, le charbon, combustible bon marché et facile d'usage, reste prisé des pays en développement.
1/5
On ne peut pas (ni moralement, ni en pratique), empêcher les pays en développement de consommer davantage d'énergie. Par contre, on peut les aider à privilégier des énergies bas carbone plutôt que le charbon.
2/5
Enfin, si on veut avoir une chance d'y limiter l'explosion de la demande d'énergie, il faut que les pays occidentaux où le niveau de vie est plus élevé montrent l'exemple de la sobriété, afin que nos modes de vie énergivores ne soient plus des exemples à suivre.
3/5
Le fondateur d'Amazon @JeffBezos s'est exprimé lors de la #COP26 à Glasgow, en promettant d'investir 2 milliards de dollars en protection de l'environnement.
Tout d'abord, le mode de vie et les projets de M. Bezos constituent un exemple du pire de ce que l'on peut faire pour le #climat : achat de propriétés gigantesques, déplacements en jet privé, promotion active du tourisme spatial, etc.
[2/8]
Aucun d'entre vous, tous ceux qui liront mon fil, n'a le potentiel d'émettre autant de gaz à effet de serre que ce qu'émet Jeff Bezos. En termes de message, lui donner une tribune lors d'une COP est désastreux.