Comment les jobs-to-be-done nous aident à prendre de meilleures décisions #Produit ? Quels impacts peuvent-ils générer au sein d’une organisation ? Et comment aident-ils au quotidien les équipes à innover ?
Vous pouvez aborder la question par le prisme du produit/entreprise (comment l’améliorer, focus sur la *solution*) OU de celui de votre cible (motivations, besoins, focus sur le *problème*, le contexte)
L’exemple des JTBD des participant•es à une conférence ⤵️
Il y a 3 types de motivations : job fonctionnel, émotionnel, social.
Il y a une hiérarchie dans la taille des jobs.
Un job doit être agnostique de toute solution et ne pas changer dans le temps.
Un job est un parcours, composé d’étapes. La différence avec une XP map c’est qu’on raisonne en outcomes, pas en touchpoint. On s’attache aussi aux needs ou critères de succès ainsi qu’aux éléments de contexte qui vont venir influer sur les décisions et comportements.
1ere étape pour adopter la méthode chez CDiscount : formaliser les JTBD au travers notamment d’entretiens clients.
Difficultés : arriver à s’aligner au sein de l’organisation sur ce qu’est un besoin client, sur l’importance ou la pertinence de certains jobs…
Étape 2: prioriser, évaluer ces JTBD, en confrontant les recherches et interrogations aux cibles directement via un sondage sur l’importance et la pertinence des needs. Cela permet d’arriver à un scoring qui aide à mieux segmenter nos cibles, affiner les personas.
Étape 3: cartographier les solutions
Cela révèle les zones où l’on n’est pas positionné, et celles qui ne sont pas suffisamment lisibles, accessibles.
Les concurrents ne sont pas forcément ceux que l’on pense.
Exemple fameux : la concurrence de Netflix c’est la bouteille de vin (le job c’est de se détendre).
Étape 4: décider sur quoi se concentrer –selon une logique 80/20.
Cela influe beaucoup sur la stratégie d’entreprise, et cela facilite les discussions en interne car on s’aligne sur le niveau qu’on veut aborder avant d’initier les discussions.
Étape 5: imaginer des solutions, qui aideront à atteindre un meilleur positionnement sur le marché
Petit tip #design : combiner les “how might we” avec les jobs to be done.
10 ans après les fameuses vidéos sur le modèle Spotify, @duboisrachel revient sur les ingrédients clés auxquels on n’a pas forcément fait très attention. À tort, car lorsqu’on parle de #culture#produit, les Squads, Chapters, Tribes et Guildes n’importent que peu.
Fun fact : 6% de l’humanité écoute Spotify (et 2% paie pour cela).
En 2012 le “modèle Spotify” s’est popularisé alors que la boîte était composée d’une centaine de personnes. Probablement l’un des messages les moins compris au sujet de l’Agilité.
La structure est la dernière chose à regarder quand on veut instaurer une culture produit.
In this session by @danvacanti we’ll explore some common mistakes associated with the definition, collection, and interpretation of #data.
You may have heard words like trend, outlier, signal, noise. But are any of those concepts real or relevant? 🏀
The greatest basketball game of the US took place in March 1962. Why did Wilt score 100 points, was it really because he changed his free throw shooting technique?
How do you move an organisation of 15 teams and their single shared monolith from bi-annual releases to fortnightly releases in under four months? How do you reduce release pain and cost?
This agency addressing the full Belgian population used to freeze code to release 2 or 3 major releases per year, and (of course) many hot bug fixes were still needed each time.
In Sept. 2018, they asked @tdpauw to change the 15 teams and their single shared monolith to fortnightly releases by December.
What he didn’t want to do was applying a maturity model, since they are flawed.
There are things you don’t talk about with your colleagues - even less so with your boss. Mental health issues are certainly a big no-no. Are taboos compatible with an #agile#culture?
“When I first started working as an agile tester, I kept my history with mental illness secret. As a result, I couldn’t speak openly about topics that are close to my heart: mental health and self-care. I didn’t want to seem weak and vulnerable.”
“In the Agile World however, we value respect, courage, and openness. How do you reconcile this with these taboos?
Can you really be courageous and open if you deny a part of yourself?”
Jakob Nielsen, dans les années 90, s’attache à l’UX des sites web. Il explique que le visiteur ne devrait pas avoir à connaître l’organigramme de votre société.
Nigel Bevan complète, en disant que c’est aussi la stratégie, les intérêts de l’entreprise qui se révèlent sur un site.
Allez analyser le site (version 2022!) d’un cabinet de conseil ayant souffert d’un bad buzz pour avoir pas mal facturé aux contribuables français, vous comprendrez.