La richesse est dans le peuple. Pas dans la terre, pas dans l'idéologie, pas dans les possessions extraterritoriales qui nous coûtent les yeux de la tête. Or de peuple, il n'y en a plus, Une moitié de notre peuple nie notre existence. Ils ne veulent plus être dans le même bateau.
A partir de là, il n'existe que deux voies:
- penser qu'il s'agit d'un problème idéologique, et qu'ils finiront par revenir à la raison.
- penser qu'il s'agit d'un problème plus profond, un véritable schisme. Dans ce cas, seules la guerre civile ou la sécession sont possibles.
- penser qu'il s'agit d'un problème idéologique, et qu'ils finiront par revenir à la raison.
- penser qu'il s'agit d'un problème plus profond, un véritable schisme. Dans ce cas, seules la guerre civile ou la sécession sont possibles.
J'étais gauchiste, je soutenais l'immigration. Je le faisais parce que je la pensais réduite, inoffensive, vouée à s'assimiler. Je vivais dans un monde parallèle. Dès lors que la réalité s'est rappelée à moi, j'ai rejeté ce projet. Or, eux, ne le rejettent pas. Ils l'assument.
