,
7 tweets,
3 min read
Read on Twitter
@Alio_ocha Il y a un certain nombre d'éléments hein. Ce qui me sidère dans l'article, c'est tout un passage sur : « Elsa Margout, la directrice des magazines de l’information de France Télévisions, est convaincue qu['Envoyé Spécial] a été la cible d’une “campagne de dénigrement”. »
@Alio_ocha « Pour Mme Margout, “des centaines de comptes anonymes, récents et avec très peu d’abonnés, ont systématiquement répercuté sur Twitter les éléments de langage de certains lobbys, créant un effet de masse et un effet d’entraînement impressionnant”. »
@Alio_ocha L'article évoque le “Let Nothing Go” tel que mentionné dans les documents juridiques. J'en avais déjà parlé :
@Alio_ocha Bayer aurait « confirmé que Fleishman-Hillard est l'opérateur du “Let Nothing Go” ». Une boite de comm qui contacté une vingtaine de journalistes (seulement des journalistes) pour fournir des éléments. 2/3 auraient agit en conséquence, et ce sans rémunération par la firme.
@Alio_ocha Dans un meil, un cadre de Monsanto souligne une amélioration de la situation en ligne, avec l'apparition de contenus positifs “dont plusieurs ont été activement placés par Fleishman-Hillard” (pas tous donc…).
@Alio_ocha Il y aurait aussi un mémo du 23 février 2015, avant la classification, qui parle de préparer la communication en ligne : tweets, billets de blogs, et amplification des contenus pré-existants sur les réseaux pour “orchestrer l'indignation”. (Je n'ai pas vérifier le doc source.)
@Alio_ocha Monsanto financerait aussi le Genetic Literacy Project et l’American Council on Science and Health, qui ne mentionneraient pas ce financement. Un toxicologue de la firme parle de problèmes avec l'ACSH, qui resterait néanmoins selon lui le “meilleur rapport qualité-prix”.
