2) Lorsque l’homme jouait sa survie en permanence, il fallait absolument privilégier le traitement cérébral des mauvaises nouvelles sur les bonnes
4) + les mauvaises nouvelles sont rares, plus nous étendons le champ de ce que nous considérons comme telles. /fin
 
     
                        

 
     
    

 
     
     
     
    
