On a eu la porte parole du Gouvernement qui déclarait que la retraite était dangereuse et qu'elle provoquait des crises cardiaques. On a eu deux candidats LREM, sorte de Dupont et Dupond de la clownerie délirante involontaire, qui
On a eu un député LREM qui déclarait que
On a eu un Ministre de l'Education qui, dans une bouffée délirante qui n'étonne plus
On a eu le Grand Macron Suprême lui-même qui, après une tentative de ressusciter le bébête show de Jean Roucas en une
On a
On a eu droit à une séquence lunaire où un dissident LREM (mais qui en fait toujours partie, n'oublions pas que nous sommes chez des spécialistes du n'importe quoi généralisé) qu'il suppliait de ne pas se présenter, lui a claqué la porte au nez en public,
Plus d'un, après l'élection du pantin plastifié vendu aux électeurs par une presse de commande avec une finesse de
Deux ans et demi plus tard, dans une phase hystérique où les
Ils sont fous.
Et à part quelques ahuris, tout le monde constate les yeux écarquillés que la clique qui nous gouverne possède l'intelligence collective d'une bétonneuse, la capacité d'élaboration d'un kilo de limaille de fer,
Si on devait décrire par la métaphore le "projet" de ce pouvoir, on emploierait probablement celle d'un pithécanthrope monté à sa propre surprise dans la cabine d'une pelleteuse et qui y aurait enclenché la marche
Et la triste créature vocifère et saute frénétiquement dans l'habitacle pendant que l'engin de chantier détruit tout ce qui se dresse devant lui : hôpitaux, écoles, Etat de droit ou tout simplement toute trace de décence ou de cohérence
Car c'est ce qu'ils ont fait de la politique : un engin propulsé par la brutalité et la bêtise qui ne fait que casser, écraser, démolir sans que plus personne n'arrive en fait à comprendre ce que pourrait bien être le propos
Et qui nous projettent loin en arrière dans l'histoire des idées, au moment où, quelque part, naissaient les amibes.