L’aide alimentaire dont dépendent des millions de personnes en France, repose sur un vaste système de défiscalisation. Des grandes surfaces se débarrassent de denrées périmées auprès d’assos, tout en bénéficiant de réductions d’impôts. Par @Sophie_Chapelle bastamag.net/Les-derives-de…
Selon les calculs de la chercheuse Dominique Paturel, entre 1,6 et 2,7 millions de personnes auraient basculé dans l’ #aidealimentaire avec le #confinement. Une augmentation de 30 à 50%. Ils viennent s’ajouter aux 5,5 millions de personnes qui y recouraient déjà. #alimentation 
Avec la loi Garot de 2016, les distributeurs ont ↗️ leurs dons alimentaires aux assos et profité de la défiscalisation. Sans contrôle public, 3 ans après, la qualité des denrées données est en ↘️ selon l'IGAS. Des produits périssables sont parfois livrés le jour de péremption.
Pour Bénédicte Bonzi, docteure en anthropologie sociale, le fait que « l’État ne [garantisse] pas l’accès à une #alimentation variée et équilibrée mais demande à celui qui reçoit l’aide de prendre soin de sa #Sante » illustre une #violence structurelle. bastamag.net/Les-derives-de…
Après avoir compris «que ce n’était pas l’aide alimentaire qu’il fallait améliorer mais l’accès à l’alimentation», l’agriculteur Jean-Claude Balbot et d'autres assos, œuvrent pour une sécu sociale de l’alimentation. Plus de détails bientôt sur @Bastamag bastamag.net/Les-derives-de…
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