#Sarkozy#Bismuth : Bonjour à tous. De retour devant la 32e chambre où le procès de l'affaire dite "Bismuth" va reprendre à 13h30. On est parti pour le live-tweet.
#Sarkozy#Bismuth : La première information, c'est donc que Gilbert Azibert est en état de comparaître selon l'expertise médicale qu'il a subie, mardi 24, chez lui à Bordeaux. Et que sa demande de renvoi est donc caduque.
#Sarkozy#Bismuth : « L’expertise a permis d’objectiver qu’il est dans un état de santé satisfaisant. » Les médecins recommandent simplement « une surveillance médicale de base » toutes les 1/2 journée du procès.
#Sarkozy#Bismuth : Mais Gilbert Azibert est encore à Bordeaux, selon son avocat. En conséquence, il ne devrait pas être présent ce jeudi après-midi devant le tribunal.
#Sarkozy#Bismuth : Le tribunal devrait donc évoquer ce point à l'ouverture de l'audience et décider de la suite :
- soit on suspend en attendant sa venue (lundi prochain ?)
- soit on commence à évoquer l'affaire sans entrer dans le fond du dossier.
Réponse à partir de 13h30.
#Sarkozy#Bismuth : En attendant, les protagonistes prennent place. Thierry Herzog est déjà là. Nicolas Sarkozy n'a pas encore fait son apparition dans le prétoire.
#Sarkozy : Sinon, pas de trace de Frédéric Karel-Canoy, l'avocat qui :
- a assuré, lundi, qu'il défendait Paul #Bismuth et se constituait partie civile
- a été démenti par le même Paul Bismuth, mardi
- a annoncé qu'il déposait plainte contre lui pour "escroquerie", mercredi
#Sarkozy#Bismuth : Nicolas Sarkozy vient de faire son entrée dans le prétoire. Costume sombre et chemise blanche. Comme lundi, il a salué son ancien avocat Thierry Herzog. Une petite tape sur l'épaule. Suivie d'un check du poing un peu raté, cette fois-ci.
#Sarkozy#Bismuth : L'audience est reprise. Cette fois-ci, l'huissier appelle "Nicolas Sarkozy" et non pas "Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa", comme lundi. Gilbert Azibert est absent.
#Sarkozy#Bismuth : La présidente lit des extraits de l'expertise médicale subie par Gilbert #Azibert :
« Il n’existe pas de paramètres vitaux (…) évoquant une décompensation cardiaque et/ou pulmonaire. »
« L’état est actuellement compatible avec une convocation judiciaire. »
#Sarkozy#Bismuth : La parole à Dominique Allegrini, l'avocat de Gilbert Azibert.
« Je note que l’expert a conclu de manière incomplète. Il n’a pas pris attache avec le cardiologue qui suit M. Azibert.
.../...
#Sarkozy#Bismuth : .../...
Je note que l’expert dit quelque chose de radicalement différent du médecin qui l’a examiné le 17 et parlait 'd’insuffisance cardiaque sévère'.
.../...
#SArkozy#Bismuth : .../...
L’expert n’a réalisé qu’un examen clinique. Un coup de stéthoscope ne serait en aucun cas un examen suffisant.
.../...
#Sarkozy#Bismuth : .../...
Enfin, l’expert fait état du traitement anxiolytique de mon client sans faire état du risque de décompensation psychologique. »
#Sarkozy#Bismuth : Au final, Me Allegrini explique que « bien évidemment », son client se conformera à la décision du tribunal.
#Sarkozy#Bismuth : L'audience est suspendue. Le tribunal part délibérer sur la demande de renvoi.
#Sarkozy#Bismuth : « Le tribunal rejette la demande de renvoi au vu des conclusions du rapport d'expertise
dit que M. Gilbert Azibert devra comparaître en personne le lundi 30 novembre 2020 à 13h30. »
#Sarkozy#Bismuth : « Il appartiendra au parquet de prendre toutes réquisitions afin de permettre une surveillance médicale » de Monsieur Azibert.
#Sarkozy#Bismuth : S'agissant de la constitution de partie civile, « je crois qu'il y eu des changements dans la volonté de M. Paul Bismuth », indique Christine Mée, la présidente...
#Sarkozy#Bismuth : Un avocat s'avance. Explique qu'il remplace Frédérik Karel-Canoy et que Paul Bismuth entend se "désister" de sa constitution de partie civile.
Fin du game.
#Sarkozy#Bismuth : L'audience est levée. Elle reprendra donc lundi.
#Sarkozy#Bismuth : Une idée du calendrier. La présidente entend faire dans l'ordre :
- Audition de Pierre Sassoust (témoin)
- Audition de G. Azibert
- Audition de T. Herzog
- Audition des témoins de T. Herzog (Henri Leclerc et Olivier Cousi)
- Audition de N. Sarkozy
#Karachi : Il fait beau ! Mais c'est triste car le #Covid nous interdit d'admirer la splendeur des vitraux de la Sainte-Chapelle en pareilles circonstances... Du coup, on est déjà devant la CJR où le procès de #Léotard et #Balladur doit reprendre à 14h. 20minutes.fr/justice/295633…
#Karachi : Mais rassurons-nous. L'après-midi risque d'être intéressante. D'abord pour entendre Edouard #Balladur. « Je reviendrais [demain] », a en effet promis, hier, l'ancien Premier ministre, un peu à la manière d'@Schwarzenegger dans #Terminator.
#Karachi : Alerte du haut de ses 91 ans, Edouard #Balladur est certes moins musclé qu'@arnold mais il n'en a pas moins « des choses à dire ». L'audience devrait donc s'ouvrir à 14h par sa déclaration liminaire. #SpoilerAlert : il va contester les faits.
#Karachi : Bonjour à tous ! Ce mardi, on est à la Cour de justice de la République pour suivre l'ouverture du procès d'Edouard #Balladur et de François #Leotard pour le financement occulte de la campagne de 1995. LT à venir à partir de 14h... 20minutes.fr/justice/295573…
#Karachi#Balladur#Léotard : Enfin, quand je dis que l'on est à la Cour de justice de la République, on est surtout à la Cour d'appel qui vont accueillir les débats jusqu'au 11 février.
#Karachi#Balladur#Léotard : Pour les puristes, sachez donc que cela se tiendra dans la Première chambre civile ⬇️
Celle où furent jugés notamment Jérôme Kerviel et Maurice Papon (sauf erreur de ma part...)
#Sarkozy#Bismuth : Hello ! C'est le dernier jour au procès de l'affaire dite « des écoutes Paul Bismuth ». Last but not least... Comme d'habitude, on est en place, devant la 32e, pour live-tweeter tout ça. RDV à 13h30.
#Sarkozy#Bismuth : Le programme est simple. Nous allons d'abord assister à la fin des plaidoiries de la défense :
- Me Dominique Allegrini pour Gilbert Azibert.
- Le bâtonnier Paul-Albert Iweins pour Thierry Herzog.
- Me Hervé Témime pour Thierry Herzog.
#Sarkozy#Bismuth : Comme il est d'usage, la parole sera ensuite donnée une dernière fois aux trois prévenus et la présidente devrait annoncer que le jugement sera mis en délibéré et la date à laquelle il sera rendu.
#Bismuth : Aujourd'hui, il gèle à pierre fendre sur le parvis très minéral du tribunal. Je suis donc déjà devant la 32e pour écouter la plaidoirie de l'avocate de #Sarkozy, après les lourdes réquisitions. Mais, pas de panique : l'audience débute à 15h. 20minutes.fr/justice/292696…
#Bismuth#Sarkozy : Je suis à deux doigts d'aller prévenir les gens qui font la queue que l'audience ne démarre pas à 13h30 aujourd'hui. Et ils sont déjà nombreux. Une bonne vingtaine, je dirais.
#Sarkozy#Bismuth : Bonjour à tous ! Le temps est maussade. Raison de plus pour passer l'après-midi dans la 32e chambre où l'on attend les plaidoiries des parties civiles et les réquisitions du parquet après l'audition animée de Nicolas Sarkozy, lundi. 20minutes.fr/justice/292614…
#Sarkozy#Bismuth : On devrait donc commencer par les plaidoiries des parties civiles. Celle de Frédérik-Karel Canoy et d'autres possibles parties civiles. Un homme en T-shirt bleu que l'on n'a jamais vu vient en effet de prendre place. Sans que l'on sache pourquoi.
#Sarkozy#Bismuth : Frédérik-Karel Canoy vient d'ailleurs d'entrer dans le prétoire. Il a farfouillé dans sa sacoche pour en sortir un jeu de conclusion qu'il a tendu à un éminent membre de la Presse judiciaire. « Je préfère écouter », lui a-t-il répondu.
#Bismuth : Bonjour ! Un peu d'agitation en ce lundi devant la 32e chambre du TJ de Paris où l'on attend l'audition de Nicolas #Sarkozy dans l'affaire dite «des écoutes de Paul Bismuth». On est déjà en place pour live-tweeter ça, à partir de 13h30. 20minutes.fr/justice/292455…
#Bismuth : Contrairement à Thierry Herzog qui n'a pas voulu répondre aux questions sur les écoutes et à Gilbert Azibert qui s'est montré un peu agacé lors de son interrogatoire, Nicolas #Sarkozy a déjà annoncé qu'il répondrait à tout.
#Bismuth : Contrairement aux journées d'audience précédentes, il devrait y avoir plus de monde dans le prétoire. « Des proches » du chef de l'Etat sont notamment attendus.