- Moins de la moitié des répondants (44%) a identifié la personne contaminante
- 35% ne savent pas comment ils ont été contaminés #Covid19
- 21% "suspectent un événement particulier sans connaître la personne source de l'infection"
Lors des contaminations au sein du foyer, ce qui représente 35% des contaminations quand la personne source
est connue, c'est le conjoint qui est à l'origine du #COVID19 dans 64% des cas.
Dans ces cas, on constate que des mesures d’isolement n'ont été prise que dans un cas sur 2
33,1% en milieu familial
28,8% en milieu professionnel
20,8% en milieu amical
Les repas joueraient un rôle essentiel dans les contaminations, quelque soit le milieu
Les bureaux partagés joueraient aussi un rôle important en milieu professionnel, ce qui de nouveau démontre l'intérêt du télétravail dans la prévention de la dissémination du #COVID19
Le #Masque n'est pas porté par la personne source ni par le cas index dans 93% des cas de contamination dans la sphère privée et dans 45% des cas dans la sphère professionnelle... même si la personne source est symptomatique.
Ces chiffres sont à rapprocher des données CoviPrev
#ComCor#Pasteur
Durant le couvre-feu/confinement, l'étude a individualisé des facteurs de risque #COVID19 : le nombre de personnes de la maison, avoir des enfants, le co-voiturage, les voyages, les réunions (#Macron) et la fréquentation des bars, restaurants, salles de sport.
Et ce qui protège ?
Le télétravail, les transports en commun (par comparaison avec le covoiturage j'imagine), le sport en extérieur
Sous réserve de l'interprétation, ce qui semble ressortir est surtout :
- le rôle majeur que jouent les rassemblements familiaux et amicaux dans les contaminations, notamment lors des repas
- Le rôle contaminant des repas sur les lieux de travail et des bureaux partagés #ComCor
- le manque d'isolement complet au domicile, en particulier au moment des repas, qui se poursuivent en commun
- le risque "enfant"
- le risque des sorties festives en var et restau, le role des salles de sport (validé ailleurs dans le monde)
- l'interêt protecteur du télétravail
Il reste à comprendre pourquoi les personnes les - susceptibles d'attraper le #COVID19 au travail sont les enseignants et scientifiques, en école ou à l'université, ainsi que cert fonctionnaires. #ComCor
Il y aussi beaucoup de données à éplucher, dont des "autres" très nombreux
On note aussi que le manque d'aération est fréquent, que beaucoup ne portent pas de masque dans la sphère privée, que l'isolement est souvent trop tardif (après le résultat du test, etc.) #Covid_19#ComCor
Il y a donc encore à travailler et à faire effort de pédagogie
La prudence est rappelée 👇
Notamment en famille, lieu de possible relâchement et de possible contamination trans générationnelle en cette période particulière. #Noel#COVID19
Des buts clairs, et un contexte : les "5000" ne seront pas atteint (on le sait désormais depuis quelques temps) #COVID19france
Faudrait un peu se détendre…personne n’est de nos jours "interné de force en asile psychiatrique »… ni "prisonnier de force politique" #Fourtillan
La loi française permet d’hospitaliser un individu sans son consentement, et ce notamment à la demande d’un représentant de l’Etat
L’hospitalisation sous contrainte, prévue par le Code de la santé publique, est une procédure complexe (article L3213-1 à 11)
L’hospitalisation à la demande d’un représentant de l’État répond à 2 conditions
A compter de ce jour, le #Gardasil, vaccin contre les #papillomavirus humains (#HPV) est désormais remboursé aussi chez les garçons, selon les recommandations de l'HAS, qui a élargit la vaccination aux adolescents de 11 à 14 ans révolus.
Jusqu'alors, la #vaccination contre les #HPV était recommandée chez:
- les filles de 11 à 14 ans révolus
- les immunodéprimés
- les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (jusqu’à 26 ans)
Désormais La HAS @HAS_sante recommande la vaccination de tous les jeunes de 11 à 14 ans révolus, avec rattrapage possible de 15 à 19 ans révolus.
La vaccination reste recommandée jusqu’à 26 ans pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes.
Première bonne nouvelle, il semble qu'une injection unique permette déjà un bénéfice vers le 10e jour (là où les courbes bleue et rouge divergent, bleu=placebo)
Après la 2e injection l'effet semble très significatif (injection à 3 semaine de la 1ère)
Seconde bonne nouvelle, ça a l'air de fonctionner chez les patients (asymptomatiques) avec comorbidités (cardio-pulmonaires, rénales, HTA, diabète). Pour le cancer, pas très significatives les data... à revoir.