Récit par @jonathanvswan d'@axios, sans doute le journaliste avec le plus de sources intérieures Maison Blanche, d'1 président #Trump, en furie, vilipendant les traîtres, envisageant tout pour éviter de reconnaître sa défaite. A lire (via @gregphil). axios.com/trump-white-ho…
2) Cet article d'@axios s'appuie sur 1 1ère révélation hier soir: #Trump a fait transmettre à tous les élus républicains du Congrès 1 courriel accablant Mitch McConnell, le patron des républicains, comme 1 ingrat quittant le navire en 1er. axios.com/trump-mcconnel…
3) On revient, comme hier soir avec le juge conservateur Hagedorn du Wisconsin, à 2 soubassements de la doctrine politique #Trump d'exercice du pouvoir qui s'effritent en fin de mandat sous l'effet de la défaite...
https://twitter.com/CorentinSellin/status/1341146406178926596?s=20
4) D'1 part, l'inefficacité de la croyance de #Trump, qu'on peut juger naïve mais fondatrice dans son action politique, d'1 "quid pro quo" lui attachant à jamais les fidélités. Le "je t'ai fait élire, tu dois m'obéir" si tant est qu'il soit vrai, ne fonctionne guère 1 fois élu...
5) D'autre part, le pacte passé entre #Trump et conservateurs traditionnels façon McConnell a porté ses fruits pour eux: ils ont eu les baisses massives d'impôts, de nombreux juges originalistes dans les tribunaux fédéraux et 1 dérégulation massive. Plus besoin de lui...
6)...#Trump reste incontournable à moyen terme pour les républicains par son emprise sur les électeurs qu'il a accrue par sa contestation. Mais à court terme, son pouvoir de nuisance post-électoral de président finissant est beaucoup plus faible. Tout n'est que rapport de forces.
7) D'ailleurs, le fait que #Trump en appelle de plus en plus aux électeurs/militants locaux républicains, par exemple pour faire pression sur les élus au Congrès d'ici le 6 janvier est typique de ce rapport de forces mouvant...#àsuivre
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