Le 11 mars approche. Le Japon s'apprête à commémorer les 10 ans du séisme et du tsunami de la côte Pacifique du #Tōhoku.
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Cette catastrophe naturelle a fait près de 20 000 victimes. 90% d'entre elles ont été tuées par le déferlement du tsunami.
La bande côtière a subi le choc de l'équivalent d'un immeuble de plusieurs étages lancé à 50 km/h. Les eaux meurtrières se sont enfoncées jusqu'à 10 kilomètres à l'intérieur des terres.
Le séisme et le tsunami ont provoqué de nombreuses catastrophes industrielles le long de la côte, causant des pertes humaines et des dommages majeurs sur l'environnement.
Pourtant, vous n'entendrez vraisemblablement parler pour l'essentiel que de la centrale nucléaire de #Fukushima...
Alors qu'il n'a pas été observé de décès ni d'augmentation des cancers du fait des rejets radioactifs, et qu'aucun n'est attendu à l'avenir (unscear.org/docs/revV14078…).
Nous devons aux victimes de la catastrophe naturelle du 11 mars 2011 une approche factuelle et rationnelle de ce qui s'est produit à Fukushima, de ses suites, et de ses leçons.
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Séisme & tsunami du #Tohoku et accident de #Fukushima :
De la désinformation autour du #nucléaire.
Ep1 : confusion persistante entre la centrale de Fukushima (photo 1) et l'incendie de la raffinerie Cosmo Oil de Chiba (photo 2). #InfoxFukushima#FightLiesOnNuclear
Un thread 🧵⬇️
En plus des détails incroyables des reliefs du cratère #Jezero et de la poussière déposée dans un ancien delta, on peut apercevoir sur ce cliché le générateur thermoélectrique à radioisotopes de Perseverance ⚛️ (le cylindre à ailettes radiales).
Pour alimenter le rover en électricité dans les situations les plus extrêmes, la NASA utilise un #MMRTG (Multi-mission Radioisotope Thermoelectric Generator) au plutonium 238.
Le gaspillage assez duré.
La 🇨🇵 est le seul pays de l'🇪🇺 n'ayant toujours pas mis en place une législation permettant le #recyclage des matières provenant de la filière nucléaire mais n'étant pas plus radioactives que ce qui nous entoure au quotidien. forbes.fr/environnement/…
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Le consensus scientifique sur le sujet est pourtant sans ambiguïté : la réutilisation de ces matières ne représente aucun risque sanitaire. Et de nombreux pays l'ont déjà mise en œuvre (dont Royaume-Uni, Suède, ou encore Allemagne).
Les modélisations les plus défavorables indiquent une exposition induite équivalente à 1/300e de la radioactivité naturelle à laquelle chacun est soumis en permanence. Soit l'équivalent de la consommation de 2 bananes par semaine.
Le Centre Commun de Recherche de la Commission Européenne vient de publier une étude étayant le fait que la combustion de #biomasse forestière ne devrait plus être soutenue indifféremment en tant qu'énergie renouvelable : ec.europa.eu/jrc/en/publica…
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En effet, 19 des 24 pratiques d'approvisionnement actuelles s'avèrent préjudiciables pour le #climat et/ou la #biodiversité.
Imaginez un instant que les vertus objectives, les services que la centrale de #Fessenheim a rendu à la société pendant + de 40 ans et aurait pu continuer de lui rendre pendant au - une décennie supplémentaire, aient été inscrits, bien visibles, sur ses bâtiments.
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L'histoire aurait-elle été la même ? La désinformation qui a fondé et fini par justifier dans l'esprit de l'opinion sa fermeture prématurée aurait-elle pu se déployer pareillement ? Quelqu'un aurait-il osé prendre la décision inique et absurde de son arrêt et démantèlement ?
Cela ne rendra pas leur outil de travail aux opérateurs de la centrale qui le voient être sacrifié sur l'autel des préjugés et de l'idéologie aveugle. Mais donner corps à cette idée est une des voies à travers lesquelles nous souhaitions leur rendre hommage.
Pourquoi vouloir réduire le nucléaire d'ici à 2035 ?
Brûler du gaz pour produire de l'électricité émettra toujours du CO2, et cette fuite en avant nous mène au gaz fossile.
C'est écrit noir sur blanc dans la nouvelle Stratégie Nationale Bas Carbone ! #SNBC ecologique-solidaire.gouv.fr/strategie-nati…
"Le Gouvernement a pris acte des études menées par RTE qui montrent que la réduction de la part du nucléaire à 50 % à l’échéance de 2025, telle que prévue dans la loi de transition énergétique pour la croissance verte, soulève d’importantes difficultés de mise en œuvre au regard