Sinon, savoir faire la différence entre un documentaire (sur une chaîne antinucléaire), un recueil de témoignages de militants anti-nucléaire, et une vraie analyse de risque, ça pourrait constituer un indice d'une forme d'intelligence.
Ce film @PetwitHom, a suffisamment alarmé notre chère ministre antinucléaire, alors députée, pour qu'elle se fasse rapporteurs d'une Commission parlementaire d'enquête sur la sûreté et la sécurité des installations et transports nucléaires civils.
Nous parlons donc d'une commission d'enquête menée par une antinucléaire, suite à un film antinucléaire, qui a audité chacune des personnalités antinucléaires identifiables en France avec une confiance quasi-absolue en ces personnes.
Là, au contact de mes parents, je prends conscience d'à quel point la communication du gouvernement et la caisse de résonance médiatique ont été un fiasco d'ampleur que je ne soupçonnais pas. Pas dans ces proportions.
Sur la perception de la pandémie, ce focus sur les cas mortels et sur les personnes à risque... Qui est devenu une absolue certitude que « moi je ne suis pas à risque, on aurait dû confiner et on ne devrait vacciner que les personnes à risque. »
Très dur de faire comprendre que « à risque » c'est pas marqué sur le front ou même détectable par un quelconque moyen. Que ne pas être dans les populations les plus a risque ne rend pas invulnérable.
Mais, pour commencer, c'est pas un mauvais goût d'aller balancer ça en Polynésie ?
Oui, je suis le premier à dire que nuc civil et militaire sont deux choses bien différentes, en tout cas depuis les années 80.
Toutefois, l'association entre le civil et le mili, les gens la font bel et bien.
Or, les Polynésien n'ont jamais bénéficié du civil, ou très indirectement, mais ont bien subi le nucléaire militaire.
À l'époque, j'avais débunké ça assez solidement.
Je vous retrouve ça... Ça mériterait une remise à jour des chiffres, mais eux n'ont pas mis à jour leur programme, alors...
Bien, bien... J'ai de la lecture pour vous ce soir. Un nouveau #thread sur la gestion des #déchets#radioactifs les plus crachou de la filière #nucléaire...
Si le format vous rebute, je mettrai tout ça sur mon blog dans le courant du week-end.
Bonne lecture !
1⃣/4⃣5⃣
1991
Le Parlement demande au CEA, au CNRS et à l'ANDRA d'étudier diverses solutions pour gérer au long terme les déchets les plus radioactifs. La feuille de route leur donne 15 ans pour rendre leur copie.
1991
La DSIN, qui deviendra plus tard l'ASN, édicte la « Règles fondamentales de sûreté » (RFS) III.2.f qui définit les objectifs à retenir pour le stockage définitif des déchets radioactifs en formation géologique profonde. asn.fr/Reglementer/Re…