6/ Admettons que l'expression (non décrite) de ces 109 microARN soit associée à l'endométriose. Encore faut-il le prouver.
Et là c'est n'importe quoi car les auteurs utilisent la MEME cohorte pour faire le test !!!
Bref puissance statistique nulle.
C'est le soucis B.
7/ Les auteurs auraient du mettre de coté une partie de leur jeu de données (par exemple 20 des 200 femmes) et ne PAS les utiliser pour trouver les microARN.
9/ En 2022 les auteurs ont acheté, pardon "publié", un article sur la même cohorte #ENDOmiRNA et ils y sont plus précis puisqu'ils y détaillent le % de #fumeuses.
10/ Bref, il est possible que ce test sur l'#endométriose vous dise surtout... si vous êtes #fumeuse.
Que les auteurs aient "mis de coté" ce critère dans leur article devrait interpeller la cellule éthique à l'@APHP (si elle existe car avec @MartinHirsch on en doute).
11/ La fiche de l'essai clinique #ENDOmiARN sur le site international semble peu fourni et inhabituel.
3/ Le cas de @PeterDaszak est très gratiné car tout en affichant son approche #OneLove/#OneHealth (surveillons la nature, tout ça), il semble être mêlé dans des expériences de gain de fonction en Chine... sur des coronavirus 🤐