Ces généraux détestent le Frente Popular, défendent le patronat et une Espagne catholique, conservatrice, monarchiste pour certain (Sanjurjo)
Mola est muté à Pampelune (région antirépublicaine où il peut comploter tranquille), Franco aux îles Canaries.
Partout les milices royalistes ou phalangistes appuient les militaires
qui plus est, le coup d’état est soutenu par le clergé espagnol qui en chaire le défend.
Il tente la conciliation, semble prêt à un gouvernement de compromis qui enterrerait de facto de Frente Popular
Dans la marine, les soldats se mutinent contre leurs officiers et empèchent les troupes de Franco de débarquer en Espagne, privant Mola de soutien
et en combinant leur action avec le soulèvement de civils madrilènes favorables au mouvement (la fameuse " 5e colonne")