On ne peut se rend compte à quel point l'islam est maléfique qu'en lisant la Sira d'Ibn Hicham, retraçant la vie de Mahomet. Dans ces textes, les femmes musulmanes se disputent les bijoux/vêtements des mécréantes comme butin avant même qu'elles ne soient assassinées.
Sur le cadavres encore chauds de leurs victimes, Mahomet déclare que le butin qu'ils ont pillé est fantastique, mais qu'au paradis des musulmans, c'est encore mieux! Des vêtements de soie dorée, des bijoux scintillants, etc etc...
Ces textes sont diaboliques. Je suis athée mais je ne trouve pas d'autres termes pour en décrire l'horreur. Ce sont ces textes qui sont utilisés pour le fameux "contexte" des versets du Coran. La Sira d'Ibn Hicham est une des sources premières de Tariq Ramadan dans ses bouquins.
Les ralliements à l'islam ne s'articulent que sur un discours vraiment très simple répété en boucle: "convertissez vous et vous aurez du butin, ne le faites pas et nous vous égorgerons". A aucun moment on ne sort de ce schéma, et cela correspond à ce que dicte le Coran.
Dans tout le récit de la Sira, cette injonction est tournée comme quelque chose de magnifique. La menace la plus barbare est présentée comme une joute oratoire d'une qualité exceptionnelle. Tout le code moral des bédouins du 7ième siècle y est présenté. C'est pas beau à voir.
Et c'est le problème, l'islam cristallise de manière intemporelle et inaltérable cette culture bédouine totalement avide, tribale, intéressée, misogyne, meurtrière, sans aucune moralité, brutale, intolérante et intransigeante, où l'on peut tuer pour se saisir d'un simple manteau.
Je vous propose plusieurs extraits. Le premier, la conversion de médinois à l'islam. Regardez comme c'est magnifique. Les musulmans jettent les idoles des païens dans les excréments et leurs attachent des animaux morts. 
Dans un autre extrait, à l'époque Mecquoise (donc la période de "paix"), Mahomet sujet aux moqueries, vient déclarer sur la place principale de la Mecque qu'il jure "apporter le sabre par lequel [les mecquois] mourrons égorgés".
Ici, la formidable joute oratoire qui poussera à la conversion des Tamîm. "l'impie, il n'est pas difficile pour nous de le tuer", "Quiconque croit en Dieu et son Prophète sauve face à nous son sang et ses biens". Quelle poésie.
Un autre passage, sur la question du butin et du paradis. Un homme est dépossédé de son manteau. "Vous voyez ce manteau vachement beau, et bien les vêtements au paradis sont encore plus jolis". Toute la spiritualité de l'islam condensée ici.
Ensuite, d'autres passages, où Mahomet pratique le soin ophtalmologique en crachant dans les yeux d'un musulman. Ou bien un autre, où il ordonne le vol de plusieurs moutons à un berger juif de passage, afin qu'il puisse se régaler dans la soirée.
Un passage, où Mahomet prépare son attaque sur les byzantins. Un musulman est dispensé de combat car il craint de ne pas résister aux "blondes byzantines". Les "hypocrites" qui refusent la guerre sainte sont brulés vivants.
Un dernier passage, sur le partage du butin. Pour donner un ordre d'idée du niveau. La première chose que la musulmane demande à son mari en le voyant apparaitre avec un sabre sanguinolent: "qu'est ce que tu as ramené comme butin".
Bref, voici le bouquin si vous désirez vous le procurer. Il est recommandé tranquillement par des sites comme oumma.com. Il est une des sources principales des islamologues, je le trouve cité souvent dans les bouquins à destination des musulmans modérés. Bonne nuit.
Un dernier extrait, 6 pages qui concernent le massacre des Banû Quraydha. Lisez ce passage, pour voir de quelle nature est Mahomet. Rappelez vous de ce passage quand on vous parlera du fait que l'islam est pareil que le christianisme. C'est la boucherie et Mahomet est l'égorgeur.
Un autre extrait complètement fou. Mahomet massacre la tribu de Cafiyya, torture son mari. Et il la prend comme esclave sexuelle. Un musulman vient s'inquiéter auprès de son Prophète devant son inconscience de prendre dans son lit une femme dont il a trucidé toute la famille.
Ici, l'islam n'est pas une religion, mais une justification divine permanente aux pires atrocités. L'avidité pour le butin précède toujours la requête divine d'aller piller tel ou tel peuple. Mahomet torture le mari de Cafiyya pour savoir où se trouve le trésor de la tribu juive.
