Pour Laurent Segnis, qui a aussi ajouté le hashtag à son pseudonyme, faire face au mouvement est devenu « un combat permanent ».
« Twitter est un lieu d’échanges très violents, car coercitif en limitant les messages à 280 caractères », concède, de son coté, Laurent Segnis, qui n’imagine cependant pas s’en passer.
Jean Dorsans, le créateur du hashtag #enbleule17 – une référence à la couleur du drapeau européen –, assume ce paradoxe sur Twitter :