🚨📣 Les additifs alimentaires comme approche stratégique pour réduire la production de méthane entérique chez les bovins : modes d'action, efficacité et sécurité @HonanMallory@ErmiasKebreab
Le #lait et la #viande issus des ruminants occupent une place importante en l'alimentation humaine. Les bénéfices nutritionnels viennent de la capacité à transformer des ressources cellulosiques en denrées à haute valeur nutritive. #ceuxquifontlelait#ceuxquifontlaviande#FrAgTw
Mais 2 enjeux demeurent importants pour les ruminants
➡️ la surface utilisée
➡️ les émissions de #méthane entérique (sujet traité dans la publication )
Rappel des chiffres d’utilisation des surfaces en 🇫🇷 (chiffres @Agri_Gouv) ⤵️
Pour réduire les émissions de #méthane entérique, plusieurs pistes existent : la conduite, la génétique l'alimentation, les biotechnologies.
Pour comprendre comment réduire le #méthane entérique par la voie alimentaire avec des additifs, il faut se replonger dans la méthanogénèse... et chercher où la stopper !
Pour les plus intéressés, les plus courageux ou les plus nostalgiques des cours de biochimie 😅 ⤵️
⚠️ 12 familles d'additifs sont détaillés : de l'ail (2 publications) au #3NOP (36 publications), en passant par les algues (5 publications)
La réduction maximale du #méthane entérique est obtenue avec les algues.
Je vous propose un focus sur les 3⃣ additifs les plus prometteurs pour réduire le #méthane entérique chez les bovins : le #3NOP, les #lipides et les #algues.
🚨📣 En conclusion, les additifs alimentaires sont des solutions d'avenir pour réduire les émissions de #méthane entérique des ruminants et ainsi diminuer l'empreinte carbone des produits lait & viande.
⚠️ La recherche doit accélérer au regard des enjeux !
Sur ces 3,3 millions de tonnes, 2,4 millions de tonnes sont sous forme de tourteaux. Ces importations sont passées de 4,6 Mt en 2002/2003 à 2,4 Mt en 2018
➡️-47,8% ⚠️
Les filières 🇫🇷 sont parfaitement conscientes des problèmes posés par ce modèle et de nombreuses solutions existent pour réduire encore cette dépendance.
Une nouvelle histoire pour vous faire comprendre pourquoi, depuis mon enfance/adolescence, je tenais tant à travailler dans le domaine de la vache laitière.
Et pour ça, comme pour beaucoup d'entre nous, c'est bien l'histoire familiale 👨👩👧👦 qui en est à l'origine !
Mes parents sont tous les deux nés en plein centre @regionbretagne
Mais dans 2 familles d'agriculteurs bien différentes !
Commençons par mon papa : je vais qualifier l'agriculture familiale de "subsistance". Il y a avait 4 ou 5 vaches dans l'étable à côté de la cuisine, des lapins, des poules et un jardin. Un cochon quand il y avait assez d'argent...
"Le tas de fumier n'était pas très long" 😅
Connaître précisément l'ingestion d'une vache 🐄, c'est... comment dire... très compliqué !
Mais... 🙋♂️💡▶️ des grilles d'ingestion simplifiées existent.
Une 🐄 ingère 5 à 6 tonnes de matière sèche de fourrages chaque année @InstitutElevage@ChambagriBzh idele.fr/services/outil…
1/ Cette publication travaille sur 5 scénarios horizon 2050
▶️Métropolisation des terres
▶️Utilisation régionale des terres
▶️Usage des terres par des ménages
▶️Usage des terres pour une alimentation saine et de qualité
▶️Usage des terres comme commun dans un monde fragmenté
2/ La #métropolisation : des usages des terres pilotés par la métropolisation 2/3 de la population mondiale dans les villes
Objectif de développement avec piliers environnementaux au second plan.
Dominance du modèle agroindustriel avec consommation de produits ultra-transformés
1/ Précisons d’abord l’étymologie du mot "viande"
Vient du latin « vivenda » devenu en latin tardif « vivanda » = « ce qui sert la vie »
Cela en dit long sur la perception de la viande et des produits animaux en alimentation humaine @NewLePrince@fr_boucherie@bernardpivot1
2/ La fraction protéique des PA présente un bon équilibre en acides aminés et une digestibilité élevée versus protéines végétales.
⚠️Toutefois car la digestibilité de ces dernières peut être améliorée par des modes de préparation adaptée (cuisson, extrusion, fermentation).
1⃣ "il faut 16 800 litres d'eau pour produire 1 kg de protéines de boeuf"
Ce chiffre reprend une méthodologie qui prend en compte "différents types d'eau". @InstitutElevage donne 50 à 70 litres d'eau par kg de viande vive @Interbev_fr@cniel
▶️ idele.fr/no_cache/reche…
Sur le sujet, je vous conseille aussi l'article de @NicolasBDN récemment mis à jour et son infographie ⤵️
Il conclue sur 351 litres d'eau par kg de viande vive mais on peut difficilement le taxer d'être "pro-élévage" 😉 @le_Parisien
L'article complet ▶️ criticalvegan.com/2019/07/02/15-…