- photo de gauche : les chiffres en absolu de l'économie où on voit qu'on a toujours pas retrouvé le niveau du #PIB de 2019
- photo de droite : propagande du gouvernement relayée par les médias
La hausse du #PIB a été dopée par un déficit public qui a explosé.
L'État a dépensé sans compter grâce aux milliards créés de nulle part par la #BCE.
Cette abondance monétaire en période de ralentissement économique, a généré une inflation sans précédent !
Contrairement au mensonge de @GabrielAttal, le porte-parole du gouvernement, le "quoiqu'il en coûte" n'a pas été permis par les réformes, mais grâce à la BCE qui a racheté 91,2% de la dette émise par les États en créant des milliards d'euros numériques en appuyant sur un clavier.
Le rebond technique du #PIB et le "quoiqu'il en coûte" ont donc été financés par la dette, par les excès monétaires de la #BCE, par l'#inflation, donc in fine par les épargnants et les travailleurs dont la hausse des salaires ne va pas compenser la hausse du coût de la vie !
Tous ces propagandistes du gouvernement, seront-ils là le jour où les taux d'intérêts remonteront tellement haut que la charge de la dette publique pèsera trop dans le budget, et qu'il faudra sacrifier toujours plus de services publics ?
Les taux d'intérêts remontent déjà !
Pourquoi donc cette propagande gouvernementale relayée par tous les médias ? Pourquoi présenter les chiffres de façon malhonnête dans le but de tromper les Français ?
C'est de cette malhonnêteté politique et médiatique que la démocratie est malade !
S'en rendent-ils compte ?
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Elle a décidé hier de fermer le robinet monétaire, et menace de remonter les taux si l'inflation continue.
Une politique monétaire en deux temps pour un rêve doux : l'espoir que l'inflation se réduise d'elle-même en fermant le robinet monétaire, tout en épargnant les marchés financiers d'une hausse des taux fatidique.
En deux mois, le monde des cryptos vient de voir s'envoler plus de 1000 milliards de dollars de valorisation.
Mais qu'est-ce que cela veut dire ?
La valorisation (ou capitalisation de marché) est la richesse à un moment donné : on prend l'ensemble des unités de cryptos existantes qu'on multiplie par le cours de chaque crypto correspondante.
En novembre 2021, on dépassait largement les 2000 milliards de dollars.
Comme la valorisation a été divisée par 2, comptablement, la richesse du monde cryptos pris dans son ensemble a été divisée par 2 !
Mais en réalité ce n'est qu'une illusion de richesse qui s'est envolée.
Les actions #lvmh rapportent 150 millions par mois à Bernard #Arnault (1.8 milliards par an).
Il peut en vendre par bloc quand il veut via une banque d'investissement. #Besoz a vendu pour des milliards de $ de ses actions #Amazon sans avoir d'impact sur le cours.
Bernard #Arnault peut utiliser aussi ses actions #lvmh comme collatéral pour emprunter toujours plus de l'argent pas cher via ses holding personnelles et faire de l'effet de levier. Parfois même pour acheter les propres actions de lvmh.
Si les actions #lvmh de Bernard #Arnault sont un patrimoine virtuel, pourquoi dépense-t-il des milliards par an via ses holdings personnelles ou via lvmh pour les racheter ?
Si l'inflation des prix à la consommation retourne à 2% comme le pensent les banques centrales, alors
1/ sans inflation négative (baisse des prix), les hausses records de 2021 impacteront pour toujours notre pouvoir d'achat (sauf pour ceux dont les revenus ont suivi l'inflation)
2/ une inflation officielle maîtrisée est un chèque en blanc donné aux banques centrales pour injecter toujours plus sur les marchés financiers et ainsi augmenter les inégalités de richesse.
Sans l'inflation du pauvre qui consomme, l'inflation du patrimoine des riches continuera
3/ les ultra-riches pourront s'acheter ce qui reste à acheter par la dette facile permise par les politiques des banques centrales, et continuer à privatiser les richesses et ce qui reste de services publics (hôpital, écoles, routes nationales...)
Villeroy de Galhau, ex PDG de #Cetelem, terreur des mères isolées qu'il égorgeait avec des crédits revolving à 10%, devenu depuis gouverneur de la Banque de France, exige que nous travaillons plus pour rembourser la #dette.
Il nous met en garde contre une probable hausse des taux
Dans l'esprit de cet usurier, l'argent facile doit être accessible qu'aux ultra-riches, aux multinationales, aux spéculateurs, en somme à ses amis.
L'argent ne doit pas atteindre la plèbe car cela génère de l'#inflation au sens de l'#INSEE (hausse des prix à la consommation).
Hors l'inflation érode la confiance en la monnaie qui perd son rôle de réserve de valeur, et crée des troubles sociaux dont les marchés financiers ont horreur.
Quand vous remplissez une baignoire, ce n'est pas parce qu'elle ne déborde pas maintenant, qu'elle ne débordera pas plus tard.
Dire qu'il n'y aura plus d'inflation post covid car la #BCE imprime depuis 2015 sans inflation, revient à croire que la monnaie restera dans les marchés.
Depuis la crise #covid, la #BCE a quasi doublé son bilan. Les obligations sont devenus trop chères, les actions aussi, l'immobilier aussi.
L'argent déborde de la baignoire "obligations-actions-immobilier".
Il se déverse sur les #cryptos, les matières premières, l'art, le luxe !
La monnaie de la BCE créée massivement et injectée sur les marchés financiers a d'abord rempli les "baignoires" des obligations et des actions, puis de l'immobilier, des cryptos, et de l'art. Maintenant elle remplit celles de l'énergie et de l'alimentaire !