1/7 Que vous pleurnichiez @PascalBoniface en évoquant flic de la pensée et harcèlement c’est le jeu sur #Twitter. En revanche « pour qui je roule vraiment», cette insinuation est grave, alors je vais vous répondre pour vous confronter à vos ignominies. 
2/7 Depuis 20 ans je travaille comme cadre intermédiaire dans le privé, mon activité sur les RS s’est développée pour et autour de la révolution syrienne.
3/7 Mon engagement et celui de mes parents leurs ont tout fait perdre : une vie de labeur qu’ils ont abandonné, ma famille a perdu bien plus que je ne gagnerai par mon salaire en une vie, et surtout des proches et amis qu’on ne reverra plus jamais. Mais nous gardons notre dignité
4/7 Je n’ai jamais voulu prendre un emploi en lien avec la tragédie syrienne, je ne veux pas faire de cette tragédie ma source de revenu. J’ai gardé mon emploi dans le privé ce qui m’a permis d’accueillir mes proches en #France et qui me permet de continuer de soutenir
5/7 financièrement la cause syrienne à hauteur des moyens que m’offre cet emploi. Je n’ai pas voulu travailler pour un think tank avec des financements douteux, c’est le prix de l’indépendance et de ma liberté de parole.
6/7 Et c’est cette liberté de parole qui vous dérange là ou d’autres analystes adoptent un ton diplomatique vis-à-vis de ce qu’ils considèrent un « confrère ».
7/7 Pouvez vous être aussi transparent @PascalBoniface et en dire autant de vos sources de revenu et ceux de l'#IRIS, j’aimerai savoir "pour qui vous roulez vraiment" au vu de vos analyses bidons voire très orientées « c’est la faute à l’#OTAN » « la #Russie humiliée »…
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