Mais assez rapidement, à part quelques petits succès, j'ai réalisé que la vidéo était très loin d'intéresser ou de motiver l'ensemble des collègues des autres services, déjà occupés par le print et/ou le site. Pas le temps, peu voire pas envie, pas formés. Entre autres.
Toute « l'excitation » censée animer une rédaction dans son ensemble s'est ainsi transformée en une course au nombre de vues (sur Dailymotion) menée par une toute petite équipe : la mienne.
On nous faisait comprendre que nos salaires étaient versés « grâce » aux vues de nos vidéos publiées sur Dailymotion. Ci-dessous une reproduction de mon visage à cette époque.
Dans les reportings que je réalisais chaque semaine, et qui étaient généralement lus par très peu de gens, les top 3 des vidéos les plus vues contenaient souvent une chose : des vidéos très légères et très virales, vol... repérées sur le Web.
Suite du thread (pardon 🎈).
