On est à 10 M de tweets en un mois. Le volume a dépassé aujourd'hui ce qu'il est possible d'analyser à une simple échelle (API, Processeurs, etc.)
- Les chercheurs sont payés et sont évalués sur leur propension à publier des articles scientifiques. L'analyse de l'actualité fait pas partie de ce jeu
Beaucoup de littérature scientifique pointent le fait d'assister à du sockpuppet, botting et consors lorsqu'un certain degré d'activité est observé. Généralement entre 800 et 1200 tweets oar jour.
- La comparaison avec un écosystème pro-russe.
Autre méthode,le comparatif entre les ultra actifs et un écosystème de réference pro-russes.
- La comparaison avec une base de données de désinformation antérieures.
La constitution d'une base de données de désinformations ayant circulés auparavant pour identifier les nouvelles est une méthode qui a fonctionné mais qui a le gros souci d'avoir
- Ces recherches s'ancrent autour de débats extrêmement politique pour lesquels il est presque impossible
- Tous ces indicateurs utilisent des bases de données d'individus. Les réactions au cas du Disinfolab cet été a bien prouvé à quel point cela est sensible car cela implique un choix de société
- Si les preuves et indices d'ingérence sont nombreux, leur impact est incertain et la narration selon laquelle les fake news ont conduit à l'election de Trump et du Brexit n'est pas étayée.