Mais dans l'absolu, c'est un mode d'expression directe de la souveraineté nationale et c'est un enjeu de société vers lequel il faut tendre.
1)-2) Quelle constitutionnalité des sanctions pénales en cas de triche ? Quelle échelle des peines retenir ?
participants ? S'il faut 100 000 participants et qu'il n'y en a que 99 000, on considère que la question ne doit pas du tout être abordée ? Du coup ça servirait à rien 19 fois sur 20.
- les libertés individuelles de la DDHC
- la forme républicaine de l'État
- la ventilation compétence du législateur / réglementaire
- le droit international
- Etc...
Devant quel juge ? Avec quel office compte-tenu de la particularité des conditions de naissance de la décision ? Quelle autorité de la force jugée ?
Quid de l'égalité territoriale s'il s'agit que d'une procédure dématérialisée ?
Quelle publicité des demandes enregistrées pour permettre aux gens de participer ?
Exemples :
"Faut-il réformer le droit d'asile ?", le champ est inintelligible car trop large.
"Faut-il renforcer le droit d'asile ?", pareil.
"Faut-il le supprimer ?", c'est inconventionnel, cf supra.
2- Inscription du sujet en conseil des ministres (sachant que le CM est fixé 4 semaines à l'avance, prévoir 3 mois grosso merdo)
3- Obligation de présenter un projet de loi ou de décret dans un délai X ? Mdr ui ui et sous peine de quelle sanction ?