La politique atteint le peuple dans son corps, par la précarité, par l'incertitude, par la répression. Le précaire vit son angoisse chez lui, jusque dans son lit, jusque dans ses rêves la nuit.
Et le politique devrait avoir un havre de paix ?
Si on croit au modèle de la démocratie représentative, il faut plusieurs éléments, aujourd'hui absents.
Il reste bien entendu à voir si c'est bien cette ministre-là qui devait être visée, avec ces arguments-là.
Mais, de base, ces comportements me semblent une conséquence inévitable des politiques actuellement menées.