Thread by @DavId17768621

Les fameuses #violencespolicières . 1 sujet qui fait toujours parler. Je ne nie pas qu'à quelques rares fois, l'usage de la force peut-être disproportionné MAIS dans la très grande majorité des cas, l'usage de la force ne se fait qu'en réponse à 1 agression, 1 rébellion ou

à 1 refus de se laisser interpeller suite à la commission d'1 délit. Pour rappel, la #police (et l'ensemble des FDO bien sûr) n'attaque jamais, ne porte jamais le 1er coup, elle ne fait que se défendre. Elle n'utilise la force que lorsque cela est nécessaire ET légitimé par

la loi. La Police est dépositaire de l'autorité publique et a, à ce titre le droit légitime d'utiliser la force quand cela est nécessaire. Par exemple, lors d'1 manifestation, tant que tout se passe bien, que les manifestants se comportent de manière civilisée, respectent la loi

(Déclaration en préfecture, nomination d'1 responsable, déclaration de l'itinéraire et heure de fin) et ne troublent pas l'ordre public, il n'y a AUCUN usage de la force de la part des FDO. C'est lorsqu'1 de ces règles est enfreinte que la force est utilisée

Et non des violences policières. Il faudrait m'expliquer comment intervenir et interpeller des casseurs, des delinquants ou disperser 1 foule qui refuse d'obéir?en leur envoyant des fleurs ou 1 boite de chocolat?
L'usage de la force est malheureusement le dernier recours mais

aussi le seul possible dans ces cas là. Il en est de même avec les interpellations quotidiennes effectuées avec force légitime. Déjà, il faut avoir à l'esprit que la soi disant victime de violences policières a, en 1er lieu, été auteure d'1 infraction nécessitant 1 interpellation

Si elle n'avait pas commis de délit, il n'y aurait pas d'interpellation donc pas d'usage de la force si nécessaire. C'est très facile de se faire 1 fausse opinion quand les vidéos enregistrées ne montrent pas le début de l'affaire ou ne montrent que ce qui est défavorables aux

FDO. On ne montre JAMAIS ce qui a réellement provoqué la réaction des policiers, c'est tellement plus facile de parler de violences pour faire le buzz. Le pire dans tout ça, c'est que ceux qui crient le plus fort et dénoncent les "violences policières" sont ceux qui, le jour où

ils seront victimes de violences, d'agressions, de vol, etc...seront les 1ers à cogner sur l'agresseur. Ou alors, à nous dire, 1 fois l'auteur identifié et interpellé, qu'il mérite des baffes ou devrait aller comme avant, casser des cailloux à Cayenne et ça,

je l'ai déjà personnellement entendu.
Il faut bien avoir à l'esprit qu'à force de parler de violences policières, d'être jugés par les réseaux sociaux au lieu de la VRAIE justice, les FDO n'interpelleront plus. La crainte d'être monté

sur l'échafaud empêche de plus en plus de collègues de faire leur travail sereinement et professionnellement. Le chaos s'installera et à ce moment là, ces beaux penseurs se diront sûrement que la vie était meilleure avant et qu'en definitive

les FDO ne faisaient que leur travail pour assurer la sécurité publique. Ils verront ce que seront de vraies violences...