Thread by @NTenzer

Merci (sincèrement) pour vos remarques. Certaines me paraissent fondées ; d'autres méritent d'être discutées ; d'autres ne correspondent pas à ce qui a été écrit dans @DeskRussie (pas par moi au demeurant et le directeur de la publication ne relit pas tout avant parution).
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https://twitter.com/_ColinGerard/status/1454800223482650628

Sur le think tank influent, oui je pense que c'est une erreur que de l'avoir écrit - dont acte.
Sur certains passages critiqués (appel à l'armée russe), j'ai compris cela comme du second degré.
L'article de @DeskRussie ne dit pas que le type en question serait LE candidat... 2/14

Je précise que @DeskRussie n'est pas #RussiaToday ou #Sputnik à l'envers : il n'y a pas de système de contrôle de "conformité" au-delà d'un minimum (v. infra). Nous avons des points de vue souvent différents et parfois des oppositions entre nous. C'est normal et souhaitable.
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Notre point commun c'est la dénonciation des crimes contre l'humanité et de guerre de Poutine, le danger premier qu'il constitue pour l'Europe et la liberté, la mise en lumière de l'oppression interne en #Russie (ainsi qu'au #Belarus), le soutien aux dissidents, etc.
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C'est la ligne de @DeskRussie de même que l'appel à des actions plus fermes de la France et de l'UE contre le régime russe, le soutien à l'Ukraine... C'est aussi le soutien à la #Russie libre que nous ne confondons pas avec Poutine.
Pour le reste, la diversité est de mise.
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A titre personnel, je ne pense pas - je l'ai déjà écrit - qu'il faille parler du personnage en question. D'autres ami(e)s sont d'un avis différent ? Qui a raison ?
Je n'ai pas de raison de m'opposer à la publication d'articles sur lui.
A-t-il une place potentielle dans la...
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stratégie du Kremlin ? Oui et non.
Oui, car tout ce qui antagonise, extrémise, polarise, hystérise, etc. est toujours bon à prendre ; que les éléments de langage du type soient ceux du régime (comme partout à l'extrême droite et largement à l'ext. gauche), oui aussi.
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Non, car il n'est pas une "créature" ou une "marionnette" du Kremlin. Celui-ci ne l'a pas créé (pas plus que les GJ, Pegida, les anti-vaccins, etc.). Cela ne signifie pas qu'il ne soit pas une opportunité (mais parmi d'autres) à exploiter.
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Il n'est pas LE candidat du Kremlin (pas plus que MLP ne l'était). L'article sous-entend d'ailleurs que Fillon l'était sans doute davantage.
Je pense qu'aujourd'hui Moscou préférerait largement un candidat LR ou un autre modéré prêt à tous les compromis avec Moscou,
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tout simplement parce qu'il/elle a plus de chance de gagner qu'un candidat d'extrême droite et que les compromis qu'il/elle pourrait faire passeront toujours plus inaperçus que s'ils sont le fait d'un candidat extrême.
Le Kremlin a l'embarras du choix...
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Cela rejoint ce que j'ai souvent écrit (y compris dans @DeskRussie) : la propagande douce (le petit discours de l'#appaisement, du #dialogue, du #bothesidesism, etc.) me paraît beaucoup plus dangereuse et perverse que le discours dur de l'ext. droite.
Donc d'un point de...
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politique étrangère, autant le type tient un discours nauséabond (encore + d'ailleurs quand il nie/montre son indifférence envers les crimes contre l'humanité d'#Assad), autant il me paraît pratiquement moins problématique qu'un discours mou d'"engagement" avec le Kremlin.
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Non pas bien sûr quant au fond, mais tout simplement parce qu'il y a moins de chance (horresco referrens) qu'un tel candidat l'emporte et mette en oeuvre ses idées, alors que la compromission douce d'un politique modéré, on connaît (see Germany, NS2, etc.).
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En tout cas, cher @_ColinGerard, nos colonnes vous sont ouvertes si vous voulez développer votre point de vue, et nous serons heureux de vous accueillir.
Bien cordialement,
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