Le premier roman de Fabrice Chillet pose la question du temps qui passe, du feu qui s’éteint en nous, de ces ombres d’amitiés, ces silences qui nous empêchent de grandir, d’accepter d’être un autre. Texte percutant et vulnérable.
Et si personne n’écrivait l’adolescence et la solitude comme Antoine Dole? Dans ces huit portraits se dessine un Tokyo perdu entre tradition et modernité, où les jeunes tentent de trouver leur place. Épuré, touchant. Gros coup de cœur.
Les trois dernières années de la vie de Jacques Brel. Entre ses envies de voler, son besoin d’océan et sa soif de ne plus être Jacques Brel auprès de cette Europe qui l’étouffe, on découvre un homme de coeur, un poète. Une ode à la liberté.
M’a emmené au coeur de ce Paris où je n’étais pas né. M’a donné soif de musique, de poésie et d’écriture. M’a poussé à accepter les souvenirs tels qu’ils sont. Un roman à la fois beau et en colère, sale et résigné. Magnifique.
Une invitation dans le monde du BDSM qui se lit comme une critique sociale sur la masculinité toxique, l’interdiction de disparaître, le besoin d’être depossédé pour se trouver soi-même. Une fable intensément humaine et intelligente, signée @LeReilly.