On ne sait pas qui l’a écrite. L’air est celui d’une chanson de 1911 : "Bonsoir, M'amour" dont la musique est de Charles Sablon.
Le premier enregistrement date de 1952, mais l’interprétation la plus connue reste celle de Marc Ogeret en 1973 :
Le premier enregistrement date de 1952, mais l’interprétation la plus connue reste celle de Marc Ogeret en 1973 :
Bien entendu, de très nombreuses versions existent. En voici quelques unes avec mes commentaires perso (ouais, kestuvafer?!?)
La version tendance Charly Oleg de Rosalie Dubois en 1978 :
La version tendance Charly Oleg de Rosalie Dubois en 1978 :
La version du grand Serge Utgé-Royo en 1999. Abstenez-vous si vous n’aimez pas qu’on roule les « R » en français. Sinon, venez, on va chialer ensemble :
Une vraie nouvelle proposition, à tendance kepon, en 2003 avec Les Amis d’ta femme :
Une version choeur d’hommes par le Choeur de Radio France en 2014. Attention, ça rigole pas trop trop…
Une autre version polyphonique de je-ne-sais-pas-quand, celle de la Compagnie Jolie môme, fidèlement très à gauche : choralternative.org/mp3/Craonne_re…
Une autre version polyphonique de je-ne-sais-pas-quand, celle de la Compagnie Jolie môme, fidèlement très à gauche : choralternative.org/mp3/Craonne_re…
Je ne résiste pas au plaisir de citer le dernier couplet :
« C'est malheureux d' voir sur les grands boulevards
Tous ces gros qui font leur foire ;
Si pour eux la vie est rose,
Pour nous c'est pas la même chose.
(
« C'est malheureux d' voir sur les grands boulevards
Tous ces gros qui font leur foire ;
Si pour eux la vie est rose,
Pour nous c'est pas la même chose.
(
Au lieu de s' cacher, tous ces embusqués
F'raient mieux d' monter aux tranchées
Pour défendre leurs biens, car nous n'avons rien,
Nous autres, les pauvres purotins.
Tous les camarades sont enterrés là,
Pour défendre les biens de ces messieurs-là. »
F'raient mieux d' monter aux tranchées
Pour défendre leurs biens, car nous n'avons rien,
Nous autres, les pauvres purotins.
Tous les camarades sont enterrés là,
Pour défendre les biens de ces messieurs-là. »
Voilà Twitter, maintenant tu connais cette chanson.
N’oublie pas que Macron a supprimé l’impôt sur la fortune, n’oublie pas que les hospitaliers prévenaient depuis un an du manque de moyens et n’oublie pas d’écouter de la musique. Elle raconte plein de chose depuis bien longtemps
N’oublie pas que Macron a supprimé l’impôt sur la fortune, n’oublie pas que les hospitaliers prévenaient depuis un an du manque de moyens et n’oublie pas d’écouter de la musique. Elle raconte plein de chose depuis bien longtemps
Bien entendu, n’hésite pas à partager tout plein de belles versions de cette chanson (ou de tes chants de lutte favoris) sous ce thread et #ResteChezToi. Bisous !
