"Ce que la géologie nous apprend sur la relation entre CO2 et température", par Alain Préat, professeur de Géologie à l'ULBruxelles
#Thread pour gens pressés
science-climat-energie.be/quelques-contr…
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En résumé:
- les teneurs en CO2 actuelles sont parmi les plus basses de l'histoire géologique terrestre.
- La vie s'est très bien accommodée de teneurs en CO2 10 X plus élevée qu'actuellement
- les teneurs en CO2 actuelles sont parmi les plus basses de l'histoire géologique terrestre.
- La vie s'est très bien accommodée de teneurs en CO2 10 X plus élevée qu'actuellement
- La terre a connu des variations de température très fortes, et parfois "soudaines" pour des raisons diverses et pas toutes élucidées (cycles astronomiques, variations de courants thermohalins, variations de l'activité solaire)
- Elle a également connu de très fortes variations du niveau des mers, liés évidemment à ces variations de Température mais aussi à des phénomènes tectoniques de grande ampleur dans le temps.
- Les variations du CO2 atmosphériques ne précèdent pas mais suivent les changements de température. De nombreux signes laissent penser qu'il y a confusion de la cause et de l'effet dans la littérature du GIEC
- Les mesures du CO2 des temps anciens par des méthodes glaciaires (GIEC) diffèrent des teneurs déterminées par les géologues par d'autres méthodes. Personne ne peut être certain de ce qui est plus fiable, comment le temps modifie la teneur dans les échantillons.
- La façon dont les modèles prévisionnels "attribuent" les variations de températures au CO2 est discutable: trop linéaire, compte tenu de tout ce que l'on ignore et du manque de corrélation entre T° et CO2 sur périodes courtes.
- De ce fait, plusieurs chercheurs considèrent que l'estimation officielle de la sensibilité de la T° au CO2 est surestimée, dans d'importantes proportions.
- Les "années les plus chaudes" jouent sur des écarts de mesure très inférieurs à la précision de la mesure elle même, et surtout, les recalibrages des "années les plus chaudes du passé" (années 30...) s'opèrent systématiquement à la baisse entre plusieurs rapports du GIEC...
- Non seulement la science climatique est loin d'être établie, mais elle est encore balbutiante et nous sommes très loin de comprendre le système climatique ultra complexe de notre planète. Et encore moins capables de le modéliser.
- L'impact probable du CO2 sur la T° est faible et ne justifie pas les milliards que l'on prétend dépenser au nom du climat /Fin
