(1) Normalement, je ne tweete que sur le #climat et ses ramifications. Mais là, l'occasion était trop belle avec la saga #Trump relatée pour vous, chers français et lecteurs de ce pauvre @Le_Figaro par l'impayable @geliefig. lefigaro.fr/international/…
@Le_Figaro @geliefig (2) Comme la presse libérale américaine, la presse européenne et française est atteinte par le désormais célèbre "Trump Derangement Syndrome", et cela remonte même avant son élection. 
@Le_Figaro @geliefig (3) Il faut dire que les prédictions de la presse libérale et les MSM (main Stream Media) quant à l'issue d'élection américaine se sont révélées bien comiques.
@Le_Figaro @geliefig (5) Une fois le choc de élection passé, des centaines d'explications plus ou moins comiques, et quelques plates excuses, ont émergé dans la presse ridiculisée.
@Le_Figaro @geliefig (6) Mais pour la presse MSM, les Américains ne pouvaient pas être déçus par Obama : croissance en berne, impôts en hausse, interventionnisme fédéral débridé dans leur vie quotidienne, désindustrialisation de l'Amérique profonde, inaction internationale.
@Le_Figaro @geliefig (7) Sans compter que les Américains ne pouvaient qu'adorer les folies climatiques d'Obama et de ses agences corrompues, de sa science bidonnée. Clinton, et toute sa clique corrompue voulaient bien sûr poursuivre et amplifier le mouvement. mobile.twitter.com/search?q=Paulm…
@Le_Figaro @geliefig (8) Rapidement, une petite musique se fit entendre : les Russes auraient interféré avec l'élection pour le compte de #Trump, dont des signes avant-coureurs avaient émaillé la campagne américaine. nytimes.com/2016/09/06/us/…
@Le_Figaro @geliefig (9) Il faut dire que les emails piratés, supposément par les Russes, du Parti National Démocrates et publiés sur @wikileaks avaient jeter une lumière très crue sur les pratiques bien peu avouables du camp Clinton. en.m.wikipedia.org/wiki/2016_Demo…
@Le_Figaro @geliefig @wikileaks (10) Après l'élection de Trump et jusqu'à son entrée en fonction en janvier 2017, cette petite musique s'est faite de plus en plus assourdissante, avec le triste épisode de la démission de Michael Flynn, alors conseiller spécial de l'équipe Trump. google.fr/amp/s/www.nyti…
@Le_Figaro @geliefig @wikileaks (11) Hystérisés par leur défaite, Obama, les parlementaires démocrates américains, et certains Républicans anti-trump humiliés, veulent voter en urgence des sanctions contre les Russes. politico.com/story/2016/12/…
(12) Peu avant Noël, le 22 décembre 2016, donc toujours pendant la période de transition, le Général Flynn appelle l'ambassadeur russe Sergey Kislyak et sans doute l'incite à sursoir à toute escalade russe avant l'arrivée officielle de #Trump au pouvoir. factcheck.org/2017/12/michae…
(13) Très (trop ?) bien informé, le @washingtonpost révèle les premiers secrets de la Maison Blanche au sujet du Général #Flynn et insinue que ce dernier cultive de longue date des rapports coupables avec ces maudits russes qui ont volé l'élection. washingtonpost.com/opinions/why-d… …
(14) Flynn est interrogé "informellement" sans avocat, le 24 janvier par deux enquêteurs du FBI, qui ont conclu que ce dernier leur a menti sur la teneur et le timing des discussions avec l'ambassadeur russe. Devant le "scandale", Flynn démissionne de 13 février.
(15) Le lendemain, #Trump et James Comey, alors directeur du FBI, à qui on reprochera plus tard la gestion pitoyable de l'enquête du serveur privé d'Hillary se recontrent à la Maison Blanche. Trump aurait dit, en parlant de Flynn : "He is a good guy. I hope you can let this go".
(16) Le 9 mai, #Trump vire Comey, en partie sur recommandations du Deputy Attorney Rod Rosenstein, sur le fait qu'il n'a plus confiance en lui, et qui lui présente des documents partiels et bidonnés de collusion de son équipe avec les Russes. nytimes.com/2017/05/09/us/…
(17) Il faut dire que #Trump soupçonne le FBI de l'espionner. La presse MSM se gosse, mais Trump a raison, et on le découvrira plus tard. thehill.com/homenews/admin…
(18) Et que Comey a fait fuiter (quelle intégrité !) dans la presse les mémos de sa conversation privée avec Trump ou il sous-entend que ce dernier aurait voulu faire obstruction à la justice le cas Flynn. Pour Trump, ces mémos le disculpent. nytimes.com/2018/04/19/us/…
(19) Cela aboutit le 17 mai à la nomination de l'enquêteur spécial Robert Mueller, un vieux de la veille et ancien directeur du FBI, par Rod Rosentein, l'adjoint de Jeff Session (Ministre de la Justice nommé par Trump) qui s'est récusé dans cette affaire. nytimes.com/2017/05/17/us/…
(20) Les pouvoirs octroyés par Rosenstein à Mueller sont immenses : il devra enquêter sur la supposée collusion (ce n'est pas un crime aux USA) de l'équipe Trump avec les Russes, et les possibles obstruction de Trump contre la justice. en.wikipedia.org/wiki/Special_C…
(21) Supposément être Républicain, Robert Mueller a l'air de faire consensus. Mais des voix conservatrices commencent à se faire entendre sur les méthodes peu avouables de Mueller et ses conflits d'intérêt dans cette affaire. Le doute grandit. zerohedge.com/news/2018-05-0…
(23) Robert Mueller s'entoure de membres et procureurs du Ministère de la Justice, la plupart ouvertement Démocrates, anti-Trump et donateurs à la campagne d'Hillary. Le 13 juillet, le désormais célèbre Peter Strzok, un senior du FBI est également recruté. edition.cnn.com/2017/07/13/pol…
(24) Mais coup de théâtre : quelques semaines après, Peter Strzok qui brutalement l'équipe Mueller. abcnews.go.com/Politics/speci…
(25) ... suivi de peu par un deuxième départ : celui de Lisa Page, juriste de Andrew McCabe, n°2 du FBI. Mais que se passe-t-il ? abcnews.go.com/US/robert-muel…
(26) L'Inspecteur Général Michael Horowitz venait de découvrir les messages de ces deux amants remontant bien avant l'élection, outrageusement anti-Trump, et exprimant leur volonté de tout mettre en oeuvre pour que Trump ne soit pas élu. foxnews.com/politics/2018/…
(27) Ces messages, publiés mais partiellement ("redacted") rendent furieux les Républicains et Trump qui commencent à subodorer une immense conspiration au sein du FBI, CIA et du Ministère de la Justice, noyautés par des fidèles d'Obama et de Clinton. realclearpolitics.com/video/2017/12/…
(28) D'autant qu'éclatent en même temps les preuves d'une implication de la campagne de Clinton dans le financement du fumeux dossier Steele sur Trump, un ancien du MI6, via la société Fusion GPS. foxnews.com/politics/2017/…
(29) Ce dossier, non vérifié selon les propres termes de James Comey, a servi de base aux mandats FISA de Carter Page, une recrue de l'équipe Trump suspecté dans le dossier d'espionnage pour les Russes, et a permis à partir d'Octobre 2016 au FBI d'espionner toute l'équipe Trump.
(30) Curieusement, Carter Page ne sera jamais entendu par le FBI et l'équipe Mueller. Il n'est pas un espion et avait même travaillé pour le FBI. Il était l'idiot utile qui a permis aux conspirateurs d'espionner tranquillement l'équipe Trump. theconservativetreehouse.com/2018/02/05/in-…
(31) Le scandale continue (bien sûr ignoré en France par nos chers médias) avec les révélations des espions ou "informateurs" placés (CIA, FBI ?) autour de l'équipe Trump pour les faire tomber dans le pièce de la collusion. wsj.com/articles/was-t…
(32) Ces révélations ont bien bien sûr été moquées par la presse libérale, mais peu à peu ont été confirmées, y compris par l'ancien Directeur du contre-espionnage du FBI sous Obama, Jim Clapper, qui a dit que "c'était une bonne chose". realclearpolitics.com/video/2018/05/…
(33) En particulier, un certain Stephan Halper, professeur émérite à Cambridge a contacté de Londres à plusieurs reprises Carter Page et un certain George Papadopoulos, un jeunot de la campagne de Trump. wsj.com/articles/when-…
(34) Hé hé ! Stephan Halper est une bonne connaissance des Clintons. Sa mission ? Recueillir à Londres le plus d'informations possible des jeunots de Trump, en particulier celles concernant de supposées informations compromettantes russes sur Hillary. thegatewaypundit.com/2018/05/obamas…
(35) Pour cela, Stefan Halper est secrètement et grassement payé par... le Département de la Défense du FBI, ce qui a valu les pires ennuis à un analyste qui a découvert le pot aux roses. washingtontimes.com/news/2018/aug/…
(36) Le FBI tente de cacher désespérément son traquenard sur l'équipe Trump. La presse libérale, nie, minimise, se moque, mais la vérité est cruelle. Elle implique notamment John Brennan, l'ancien Directeur de la CIA, et Peter Strzork. wsj.com/articles/what-…
(37) John Brennan devient nerveux. Il est cerné. Du coup, il aboie en permanence sur Trump depuis plusieurs mois, et l'accuse même de trahison. Ni une, ni deux, Trump lui son habilitation spéciale Top Secret. foxnews.com/opinion/2018/0…
(37) Mais qui est John Brennan ? Un aperçu de son pédigrée : thegatewaypundit.com/2018/08/john-b…
(38) John Brennan, ce protégé d'Obama, est un adepte des coups tordus et l'espionnite aiguë. Il n'aurait jamais dû être directeur de la CIA. Une honte pour Obama. theguardian.com/world/2014/jul…
(39) Même Jim Clapper, l'ancien Directeur du Contre-espionnage du FBI d'Obama, désormais encarté à CNN et à qui il faisait fuiter des informations top-secrètes, trouve que John Brennan en a trop fait. thehill.com/homenews/sunda…
(40) Maintenant, il fulmine, et rétro-pédale : il ne voulait pas dire que Trump trahissait son pays quand il disait que Trump trahissait son pays. Il a été "emporté par son tempérament irlandais"... thehill.com/homenews/admin…
(41) Bien sûr, tout cela vous ne le lirez pas dans la presse et les médias nationaux, n'est pas @geliefig ? Les français ne doivent pas connaitre la vérité. Les "correspondants" français à Washington sont en fait des colporteurs de CNN, MSNBC, NYT, WaPo truffés d'amis d'Obama.
(42) Mais bien sûr tout ne s'arrête pas là. Manafort ? L'ancien et bref conseiller de campagne de Trump a été emporté par Mueller pour des faits qui remontent à 10 ans. Pourquoi ? Mueller aurait-il eu un intérêt a voir Manafort condamné ? thehill.com/opinion/white-…
(43) Par le passé, Manafort a eu un confilt avec un oligarque de Poutine, Oleg Deripaska. Ce dernier est une bonne connaissance de Mueller qui a voulu utiliser ses services pour la libération ratée d'un otage en Iran en 2009.
(44) Deripaska est banni de business des USA depuis la loi Magnitski 2012. Il meure d'envie d'y revenir et est prêt à tout à y arriver, en se faisant pardonner pour bonne conduite, en impliquant des proches de Trump dans l'élection de 2016 ? thehill.com/opinion/white-…
(45) Mueller a caché ce conflit d'intérêt dans l'inculpation de Manafort. Et si Manafort a été inculpé, c'est parce que son nom figurait dans le fumeux rapport Steele. Son nom y a-t-il été mis par Deripaska lui-même, une source de Steele ? washingtonexaminer.com/news/emails-sh…
(46) En effet, les messages révélés et ravageurs entre Steele et Bruce Ohr, n°4 du Ministère de la Justice semble montrer la collusion, réelle, entre lui, sa femme (embauchée à Fusion GPS), Steele, Fusion GPS, Hillary, l'équipe Mueller, et Derispaska. theconservativetreehouse.com/2018/08/08/mor…
(47) Mais tout cela est déjà connu des membres du très corrompu "Senate Select Committee on Intelligence" dont on sait qu'il possède depuis près d'un an les versions complètes des mandats FISA à la suite d'une fuite de James Wolfe, membre du SSCI. theconservativetreehouse.com/2018/07/24/cor…
(48) Et Trump dans tout cela ? Il fulmine et tweete. Mais il attend son heure, car il sait tout, peut tout déclassifier, et virer Mueller. Ce dernier joue sa survie. Car si Trump n'est pas "empêché", lui et sa clique risquent de passer des années dernières les barreaux...
(49 et fin) Il serait trop long de traiter tous les aspects tentaculaires du scandale #SpyGate. Il y a des révélations tous les jours que Mueller peine à cacher avec ses propres turpitudes. Une chose est sûr : le réveil de la presse va être douloureux. theconservativetreehouse.com/2018/08/22/yes…
