On m'a reproché qu'un mois, c'était pas représentatif. Et bien soit !
Mettre une année complète sur un graphe, évidemment, ça n'est pas possible. 17000 points de données, ça serait illisible.
Du coup, j'ai tracé des graphiques d'un mois, mais pour les 4 trimestres 2018 : janvier, avril, juillet puis octobre.
Donc le solaire et l'éolien, qui affichent déjà de petites valeurs, se voient encore diminués par cette présentation.
Par ailleurs, la deuxième injustice, c'est que les parcs éoliens (environ 14 GW), solaires (environ 8 GW) et nucléaires (63 GW) sont très inégaux.
Pour régler ces deux aspects (les parcs inégaux et la normalisation), je peux tracer les facteurs de charge de chaque moyen de production.
Pour le solaire et l'éolien, je prends les parcs installés au 31/12/2017, 31/04/2018, 30/06/2018 et 30/09/2018 (d'après les panoramas des EnR trimestriels de RTE).
L'hiver, quasiment pas de solaire, et une production éolienne très intermittente mais par moments très généreuse.
L'éolien est un peu masqué, mais semble plus constant mais très modeste.
À noter, des périodes de plusieurs jours relativement constantes pour l'éolien.