Mais il y a aussi de bonnes nouvelles.Le scolarovirus, lui, s'attaque aux idées reçues sur l’École et les enseignants⤵️
Foutaises ! Ils sont capables de se former en 48h à de nouveaux outils et de nouvelles pratiques... Qui a dit qu’ils étaient incapables d’innover ?
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Alors que le temps en face à face à provisoirement disparu, on voit bien mieux la complexité et l’importance du travail des enseignants. Un travail qui prend beaucoup de place dans leur vie.
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Cette crise nous montre a contrario que c’est l’enseignant et la relation humaine qui est irremplaçable. Et les solutions des Edtech semblent l’oublier. ↕️
Cette période n’a jamais été aussi constructive et dans l’invention de solutions. On peut râler contre ceux qui sont ds la critique et gênent le travail en responsabilité.↕️
L’éloignement nous montre que ce qui est essentiel c’est surtout de ne pas perdre des élèves et de les aider TOUS à apprendre. ↕️
Et si le plus important serait plutôt de construire et maintenir des habitudes de travail, des compétences (j’ai dit un gros mot?)...Une approche curriculaire en quelque sorte (encore un gros mot)↕️
Oui, mais laquelle ? Celle qui est bloquée sur le respect des procédures ou celle qui accompagne, respecte et soutient ?
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Paradoxalement cette période de confinement est un formidable moment de mutualisation, d’échange et de construction collective.
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Ce virus est en train de faire tousser la bureaucratie verticale. Ce qui s’invente,ce sont des réponses locales par des professionnels responsables dans le respect des valeurs du service public↕️
Après la joie surjouée du début, on constate que nos élèves et les familles comprennent bien le rôle central de l’École et des enseignants et le disent. Notre plus belle récompense…? ⬆️