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1/n La fréquence des tests dans les pathologies chroniques définie dans les recommandations est basée sur l'opinion d'experts, c'est à dire le plus faible niveau de preuves en EBM article BMJ bmj.com/content/365/bm… et bibliographie dans Pealtress
2/n L'opinion d'experts, est, en effet considéré comme le pus faible niveau de preuves en EBM 
3/n Les pathologies étudiées dns l'article sont le diabète, l'hypertension et l'insuffisance rénale chronique. Les conséquences sont financières et médicales: risque de faux positifs et de traitements inutiles.
4/n Le risque est aussi lié au caractère probabiliste de l'interprétation des tests: plus on fait de tests, plus on les fait fréquemment, plus on a des risques d'avoir des résultats faussement positifs.clinlabnavigator.com/health-screeni…
5/n Exemple de recommandations appliquées en UK pour le diabète et du niveau de preuve qui y est associé.
6/n Il n'y a pas d'investissement actuel dans de la recherche qui pourrait améliorer ce niveau de preuves. A titre indicatif, les dépenses pour des analyses biologiques s'élèvent en France à environ 6 milliards d'euros.
7/n Face à ce haut degré d'incertitude, les auteurs recommandent de se poser davantage la question du motif et de l'utilité des tests (pas de tests systématiques) et d'utiliser pleinement la décision partagée avec le patient
