évaluations des #expositions et des #risque est réalisée pour toutes les
populations potentiellement exposées et tous les compartiments donc :
Consommateurs, Utilisateurs, résidents et passants
abeilles, autres arthopodes, etc…Sols et eaux
En Europe cela est réalisé par l’@EFSA_EU pour la substance
active et une ou plusieurs représentations représentatives.
prévoit une évaluation « simplifiée » par rapport à l’ancien : l’Europe
est divisée en 3 zones, un pays par zone sera rapporteur
des #expositions humaines. Pour le consommateur, le #cuivre étant un oligo-élément essentiel, on le retrouve dans beaucoup d’aliments à l’état naturel :
Pour cela, l’@EFSA_EU à élaboré un document guide qui permet
l’évaluation des expositions de ces populations : efsa.europa.eu/fr/efsajournal….
Operateur : celui qui va appliquer les
traitement (exposition pendant le mélange et chargement de la cuve ou du
pulvérisateur et pendant l’application)Travailleur : celui qui va intervenir dans la culture après le traitement en fonction des scenarios :
Passant : celui qui passerait malencontreusement à côté d’un champs en cours de traitement
champ traité : enfant et adulte, en prenant en compte toutes les voies d’expositions possibles : dérive de pulvérisation, inhalation de vapeurs, entrée dans un champ traité, dépôts sur les surfaces (jardin, intérieur…) et le cumul
pour calculer toutes ces expositions. Modèle basé sur des centaines d’études
réalisée en conditions réelles d’exposition qui couvrent tous les scenarios de
pulvérisations possibles sur toutes les cultures
Agricultural Practices) en anglais : quel est le type de produit (liquide,
solide), la dose de(s) substance(s) dans le produit, la dose à l’Ha, le nombre
d’applications par saison, le délai entre chaque application,
Un autre paramètre essentiel est l’absorption cutanée de
la substance dans le produit. Là encore un document guide de l’@EFSA_EU expliquecomment la déterminer : efsa.europa.eu/fr/efsajournal…
ces populations exposées (90%) donc ce paramètre est très important.
Dans le cas du cuivre, avant d’avoir des études
spécifiques, nous supposions d’en tant que substance inorganique, il était très
peu absorbé.
différent types de préparations, la pénétration cutanée était relativement
importante (10% retenu par l’@efsa).
cutanée (voir document guide) et tout type de mesures pouvant limiter les
expositions (Equipements de Protections Individuels, buses anti-dérive,
Ex : toujours pour notre #cuivre :
(ici sont présentés les anciens modèles donc ne suivant pas le document guide
actuel de l’EFSA 2014.
efsa.europa.eu/en/efsajournal…
efsa.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.29…
efsa.onlinelibrary.wiley.com/action/downloa…
En affinant les paramètres et quelque soit la préparation
représentative, l’@EFSA arrive à 600 % de l’AOEL soit 6 fois la dose maximale
admissible pour les travailleurs en vigne avec 4 kg/Ha
majoritairement cutanée minoritairement par inhalation, l’exposition va
directement dans le sang, sans être régulé par le foie, donc possiblement
exposition directe du cerveau et dépassement des capacités d’homéostase. Voir #thread 2 toxicité
(poke @LeluOlivier )
Je vous laisse réfléchir la dessus…
d’obtenir un risque acceptable pour toutes les populations exposées.
Et je ne parle pas du risque environnemental du #cuivre (si
@Leblo6Sandrine veut s’y coller…).