La crise hospitalière est la partie émergée d'une crise globale des services publics en France. Cette crise touche aussi la justice, l'école, l'éducation supérieure et la recherche.
On demande à l'hôpital d'équilibrer un budget tout en diminuant ses recettes (via une baisse des tarifs des prestations hospitalières, la fameuse #T2A).
(Dans l’enseignement supérieur, le nombre d'étudiants est passé de 2,16 millions en 2000 à 2,68 millions, soit une hausse d'environ 25%).
Pénurie de lits à l'hôpital, d'où les brancards qu'on laisse dans les couloirs, pénurie de places dans les établissements d'enseignement supérieurs, procédures de justices interminables qui découragent les plaignants.
On rend acceptable une pénurie de places en passant d'un tirage au sort à un classement au mérite.
Ainsi:
1/ On demande aux hôpitaux d'économiser à nouveau 800 millions d'euros:
leparisien.fr/economie/budge…
lesechos.fr/politique-soci…
20minutes.fr/justice/243029…
Emmanuel Macron, hélas, a fait son choix.